Missions

La conjonction des possibles

Alors que la nuit tombe, Beauchamp rejoint Laspalès, accoudé au comptoir d’un pub de Soho.

“Commissaire, je ne sais pas si ce rapport rejoindra un jour ses prédécesseurs mais la situation m’a poussé à écrire, peu importe les cauchemars entretenus par mes souvenirs. Je ne peux garder pour moi ce que j’ai vu et ce qui se profile pour notre pays, pour le monde entier.”

Il sort de sa veste une liasse de feuillets froissés et les tend au vieil homme.

“Chef, dites moi que nous ne sommes pas finis.”

Notes préliminaires : Pendant l’épisode de Dunkerque, le 2e bureau de l’armée a tenté une action impliquant le surnaturel, extrêmement dangereuse car ayant délibérément sacrifié des civils français. Les principaux responsables de la BMS, le commissaire divisionnaire Conti, le commissaire principal Laspalès et le commandant d’Auclin du Loup (agent de la BMS, mobilisé comme commandant du 603e GIA) ont été mis aux arrêts par le général Collot et embastillés dans un lieu inconnu. La BMS se retrouve sans chefs et sans directives pendant la bataille de la Somme où ce qui reste de l’armée française va tenter d’établir une ligne d’arrêt face à l’armée allemande. Mais l’armée de l’air allemande, la Luftwaffe, lance un raid aérien de grande ampleur contre la capitale... Paris, le 6 juin 1940 L’opération Tapir [Plan de défense de Paris contre le raid annoncé de l’aviation allemande] est un (…)
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Le grand déménagement

Seule au bureau pendant que les agents de la BMS sont dispersés sur les routes de France à la recherche du commissaire Laspalès, l’agent Annie Durand, enceinte de 8 mois, voit de sa fenêtre passer les voitures officielles... La nouvelle court que le gouvernement évacue la capitale pour la ville de Tours.

Elle prend alors une décision capitale : évacuer les archives de la BMS. Un camion Berliet avait été prévu à cet effet mais il a vite été rempli. Réquisitionnant un peintre en bâtiment avec sa camionnette pour charger le complément de cartons d’archives, elle part sur les routes de l’exode accompagnée d’une escorte de circonstance composée, outre le peintre en bâtiment, d’un tirailleur sénégalais du 60"e GIA, d’un vieux policier en uniforme rappelé de sa retraite, et d’un jeune garçon de café...

Somme toute...

Le commissaire-principal Laspalès et le commissaire divisionnaire Conti ont disparu. Les agents mènent l’enquête et tout conduit à penser que le 2eme bureau les a fait mettre au secret. L’armée veut en effet tenter une action désespérée en utilisant des moyens surnaturels...

Soixante jours qui ébranlèrent l’occident

Le 10 mai 1940, une foule d’éléments présumés surnaturels rapportés par le bulletin arrive sur le bureau du commissaire Laspalès. Cependant, l’intuition de ce vieux policier le conduit à envoyer ses maigres équipes enquêter en priorité sur le cas de folies survenus à des soldats en garnison près de Sedan...

Gloria in excelsis LeO

Les écoutes du PC Bruno permettent de décrypter des messages codés par Enigma émis par le quartier général de la Karotechia. Les analystes peuvent ainsi confirmer l’existence dans le Tyrol autrichien d’un laboratoire secret produisant une substance capable d’animer des zombies, dont la BMS soupçonnait l’existence suite à la dernière affaire en Pologne.

Ce laboratoire est situé dans un massif montagneux, difficilement accessible... Mais pas impossible pour la BMS et le 603e GIA, qui monte un raid en utilisant des autogires LeO C 30 !

Also spracht Zarathustra

Une réunion interalliée a lieu au GQG de Vincennes. Les cryptologues du PC Bruno ont intercepté une émission allemande qui, recoupée avec des sources humaines de l’intelligence Service britannique, donnent de nouveaux éléments sur une opération secrète de la Karotechia : l’Aktion Schofar.

Wrócilem z piekla

Au GQG de Vincennes se tient une réunion secrète dans la salle d’analyse des écoutes Enigma. Les visages des officiers du 2e bureau et des inspecteurs de la BMS est terrifié. L’un d’eux souffle d’une voix étouffée : "Cela prouve ce que ce Polonais complètement givré exfiltré du pays a pu nous dire dans ses délires..." Un militaire se hasarde à proposer une intervention. Mais tous savent que l’affaire sera des plus risquées, si l’armée française n’a pas levé le petit doigt pour aller secourir les polonais, comment envisager d’y envoyer maintenant un groupe armé ?

La Sarre

Quelques jours après la déclaration de guerre, les agents de la BMS sont requis par le GQG de Vincennes pour expertiser des photos prises par un avion de reconnaissance français sur le front de la Sarre, où se prépare une offensive pour soutenir la Pologne...

Ci-après, le carnet de notes de Clément Marchal, nouvellement intégré dans les rangs de la BMS. Paris, le 4 septembre 1939 Ca n’a pas tardé, sitôt intégré, sitôt sur la brèche ! Ce n’est pas pour me déplaire et un peu d’action ne me fera aucun mal, voila plusieurs jours que je tourne en rond à remplir des formulaires administratifs sans fin. Le grand chef nous réunit vers 18h pour nous envoyer d’urgence au GQG de Vincennes afin d’y examiner des photos aériennes. Je suis le mouvement sous les ordres du Commissaire Valois, tout en faisant connaissance avec mes nouveaux collègues. Le généralissime Gamelin prévoit de mener une offensive dans la Sarre pour soutenir la Pologne qui se bat contre les boches depuis quelques jours. Mais il y a un problème : il nous expose les photos d’un fort allemand à Falsberg, dans la Sarre, de l’autre côté de la ligne Maginot. On y voit d’étranges (…)
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Mémoire enfouie

Une enquête sur occultiste lyonnais disparu conduit une équipe d’agents de la BMS à suivre sa trace sur le plateau du Vercors en plein hiver...

Sous la banquise

La découverte d’un texte ancien en vieux Norrois convoité par la Karotechia et le résultat d’écoutes du PC Bruno conduit la BMS à envoyer d’urgence trois agents sur la base navale britannique de Scapa Flow. Ils collaboreront avec des agents de l’Intelligence Service pour mener dans un hydravion Catalina une dangereuse mission d’exploration sur les côtes du Groenland...

Les déménageurs

Les agents de la Brigade Mobile Spéciale partent en Pologne alors que les troupes allemandes envahissent le pays, pour y ramener de précieux messages des allemands interceptés et décodés par les services secrets polonais...

Août 1939. C’est un bel été qui s’écoule le long des quais de la Seine... Pas au quai des Orfèvres où le commissaire Principal Laspalès, la mine sombre, convoque ses agents. "Mesdames et Messieurs, je reviens du quai d’Orsay. Les Polaks m’ont confirmé avoir archivé plusieurs messages Enigma entre les mois de janvier et octobre 1938 qu’ils n’ont pas encore décodé. A coup sûr, plusieurs portent le suffixe "Opération Schofar". Je leur ai demandé qu’ils me les fassent passer au plus tôt. On m’a répondu qu’ils avaient mieux à foutre. En raison de la tension internationale, ils ont accepté de déménager leur machine à décoder dans un nouveau centre en France dont le lieu est tenu secret et qui sera géré par une équipe internationale de gars à nous, de polaks et de rosbeefs de l’intelligence service. Actuellement, la machine est en cours de déménagement par une équipe de gros bras. Y’a un (…)
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Aktion Schofar, 4eme partie - Luginë

La BMS mène une opération commando dans les montagnes albanaise et empêche la Karotechia de réaliser une mystérieuse cérémonie dans une vallée maudite.

=== Rapport d’enquête de l’inspecteur chef Juste Beauchamp, agent n°94 de la BMS, mandaté par le Commissaire Principal Laspalès sous les ordres du Commissaire Valois === == 27 juin 1939 == Nous venons de rentrer de Prague avec le journal de bord de Totth. Il contient des informations particulièrement précieuses sur le culte albanais qui semble à l’origine de tous nos problèmes. Apparemment, tout se serait passé dans une vallée reculée (mais ne le sont-elles pas toutes dans ce pays ?) du nord-est, une vallée maudite dont ne sont revenus que quelques hommes du bataillon engagé à l’époque. Nous commençons à étudier les différentes possibilités d’action sur le terrain quand nous recevons de nouvelles informations des services polonais. De nouveaux messages ont été interceptés concernant l’opération Schofar. A en croire les retranscriptions, l’avion abattu au dessus du lac (…)
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Aktion Schofar, 3eme partie - Prague

Les agents de la BMS poursuivent leur enquête et découvrent grâce à une guerre des services dans la SS un indice important dans la ville de Prague.

=== Rapport d’enquête de l’inspecteur chef Juste Beauchamp, agent n°94 de la BMS, mandaté par le Commissaire Principal Laspalès sous les ordres du Commissaire Valois === == 29 mai 1939 == Nous arrivons à Paris après être passés par Salonique, Athènes puis Marseille. Alfonsi, fortement choqué suite à notre escapade forestière, est envoyé au repos. Il est remplacé par Durand. Les objets subtilisés aux allemands sont versés aux archives. == 30 mai 1939 == Prise de renseignement sur la collection Totth auprès de : ● Reyes, collectionneur d’art de Perpignan : jamais entendu parlé ● salle des ventes de Drouot : ne savent pas mais nous indiquent le musée national hongrois comme piste potentielle. Nous recrutons un interprète à l’Institut de langues orientales : Charles Sepezy-Soköll. == 31 mai 1939 == Le départ est retardé d’un jour afin de vérifier si de nouveaux messages (…)
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Aktion Schofar, 2eme partie - Florina

Les agents de la BMS mènent leur enquête dans la ville grecques de Florina où le Roi Zog d’Albanie a trouvé refuge suite à l’invasion de son pays par l’Italie fasciste. Dans le trésor royal se trouve un mystérieux objet convoité par la Karotechia...

=== Rapport d’enquête de l’inspecteur chef Juste Beauchamp, agent n°94 de la BMS, mandaté par le Commissaire Principal Laspalès sous les ordres du Commissaire Valois === == 21 mai 1939 == Pas plus tôt rentrés de nos affaires à Marseille, nous apprenons que certains collègues manquent à l’appel. Ils auraient disparu dans une résidence à Clamart après la découverte du cadavre d’un chinois. Ils seraient rentrés dans un buisson de roses pour ne pas en ressortir... jusqu’à l’arrivée d’un télégramme le jour même, provenant de Chine, indiquant qu’il faudrait leur envoyer un bateau... Trêve de chinoiseries, nos récentes découvertes dans le sud de la France ne présagent rien de bon. Nous avons alors trois pistes semblant valables : • la première est dans la continuité de notre première investigation : en Albanie. Les objets dérobés à Nazar Gajarian ont été envoyés dans ce pays de (…)
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Un chinois dans mon salon

La BMS enquête sur un chinois blessé par balles, vêtu d’un habit traditionnel, mystérieusement décédé dans le salon d’un pavillon de Clamart appartenant à un réalisateur de cinéma qui y a récemment emménagé.
Il s’avère que ce chinois venait sans doute chercher du secours auprès de l’ancien propriétaire, décédé il y a quelques années. Mais d’où venait de chinois ? De Chine, logiquement. Le problème, c’est que remontant la piste du sang laissé par la blessure du chinois, les agents de la BMS en viennent à examiner le jardin... Ils en ressortent en Chine !

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Aktion Schofar, 1ere partie - Enigma

=== Rapport d’enquête de l’inspecteur Juste Beauchamp, agent n°94 de la BMS, mandaté par le Commissaire Principal Laspalès sous les ordres du Commissaire Valois === == 12 mai 1939 == Le Commissaire Principal Laspalès demande aux agents disponibles, dont je fais partie, de l’accompagner à une réunion de la plus haute importance à l’hôtel des Invalides. Sont présents sur place le Président du Conseil, le Colonel Collot (chef de la branche occulte du 2ème bureau) et un commandant de l’armée polonaise (Kolek). Nous apprenons que la machine Enigma, utilisée pour le chiffrement des messages allemands, bénéficie d’une version évoluée à 6 cylindres, rendant le code virtuellement impossible à casser. Toutefois, suite à la trahison d’un officier allemand, les services polonais ont pu mettre en place une méthode de déchiffrement. Dans les transmissions interceptées figure un message (…)
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La Rouille

La BMS enquête près de la ville d’Avallon, dans le Morvan, où des récoltes se mettent à pourrir inexplicablement et où une jeune fille a disparu. L’enquête des agents permettra de démanteler un culte Cthuloïde mené par le prête du village, ancien missionnaire que des indigènes avaient converti à leur religion lors de son séjour en Afrique Equatoriale Française...

Un homme aux assises

Mars 1939. La brigade mobile spéciale mène une contre-enquête sur un homme travaillant dans une entreprise de pompes funèbres et accusé du meurtre particulièrement atroce de son employeur. L’accusé n’a pas grand-chose pour se défendre, toutefois un jeune avocat, Maître Jacques Isorni, croit en son innocence et va se battre pour l’innocenter. Il sera aidé dans sa tâche par les agents de la BMS qui analyse les faits quelque peu différemment de l’enquête officielle...

20 mars 1939. Cinq inspecteurs, qui auraient dû avoir mieux à faire (Pénélope Solette, Annie Durand, Henri Foccard, Germain Lanquetot et André Windemuth) sont envoyés pour une « simple vérification » dans une sinistra affaire de droit commun survenue dans la ville de Pantin. Jacques Ledru, entrepreneur de pompes funèbres, a été tué sur son lieu de travail par une injection massive de liquide d’embaumement (alors qu’il était encore vivant...). Tout semble accuser son jeune assistant, Jules Thévenot, un mauvais garçon ancien repris de justice, qui est sous les verrous en attendant le procès qui s’annonce expéditif. Son avocat, Maître Jacques Isorni, aura bien du mal à plaider son innocence, tant les apparences semblent se dresser contre son client : Ledru devait en effet plus de 2000 Francs d’arriérés de salaire à Thévenot. Toutefois la situation, pour l’œil aguerri de la BMS, n’est (…)
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Ce scénario est l’adaptation de "Dark Rivals" paru dans le recueil de scénarios "Dead reckonings" de J. Todd Kingrea, Kevin Ross, John Snyder et Richard Watts (Chaosium, 1998)

Terror a Catalunya

Les agents de la BMS interviennent en Catalogne pendant la guerre d’Espagne, contre un ennemi surnaturel qui s’avère différent de prévu...

19 janvier 1939. Quelques clichés de l’agence Alliance Photo (où travaille le journaliste Frank Capa) ont atterri sur le bureau du Commissaire principal Laspalès - alors qu’ils ont été proprement ignorés par les quotidiens français. Sur ces clichés en provenance de Catalogne, une scène - banale - de massacres de civils. Les Nationalistes ont pris pied quelques jours plus tôt en Catalogne et les nouvelles qui parviennent en France ont déjà une odeur de curée. Pourtant, ces clichés ont retenus l’attention du Commissaire principal pour une raison assez fréquente ces dernières années : plusieurs des cadavres portent distinctement deux marques de ponction au niveau du cou... La lutte entre les suceurs de sang et la BMS aura-t-elle un nouveau chapitre dans son atroce chronique ? A peine revenus d’Alsace, l’inspecteur chef Annie Durand et l’inspecteur André Windemuth sont immédiatement (…)
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Wolfschen

La BMS affronte un commando de la Karotechia venu en Alsace à la recherche du descendant d’une étrange famille...

A la recherche du temps perdu

Le commissaire Laspalès reçoit une étrange lettre, dont le contenu s’efface dans ses doigts. Elle était postée du village de Combray en Eure et Loir. Un village qui n’existe pas...

Ah ! Les cons ! S’ils savaient...

Un militaire allemand est assassiné au quai d’Orsay alors qu’il tente de délivrer un message au gouvernement français. La BMS va intervenir avec les services secrets britanniques dans une de ses plus dangereuses missions, pendant la signature des accords de Munich...

Avant-propos Deux tendances historiques sont rappelées : – D’une part, une longue histoire de concurrence et de guerre larvée entre les services français et l’Ahnenerbe. – La recrudescence des affaires en 1938 (une dizaine d’affaires rien que dans les six premiers mois, dont de très sérieuses confrontations avec le Mythe). 17 septembre 1938 Alors que l’actualité est cristallisée par la rhétorique nazie, la BMS est contactée en urgences au matin du 17 septembre pour aller enquêter sur un « incident » au Quai d’Orsay. Sur place, il semble qu’un officier allemand ait été reçu en pleine nuit par un chef de cabinet adjoint du Ministre, un certain Roger Garatier. Ce dernier a sauté par la fenêtre pour échapper à une vision qui l’a rendu complètement fou. Dans le bureau, Lucienne Gilbert, la sténo, a été tuée (détruite serait peut-être une description plus exacte - sa nuque a été (…)
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Dans l’avion qui se pose au Bourget, le président du conseil Daladier écoute longuement les paroles de Laspalès blessé qui lui parle des services secrets nazis et de leur utilisation du mythe de Cthulhu. Au sol la foule est là. Il s’attend à être conspué... mais découvre au contraire qu’on vient l’acclamer. L’ambassadeur Alexis Léger et les agents de la BMS l’entendent alors prononcer "Ah, les cons ! S’ils savaient..."

Someone to watch over me

Deux voyous parisiens, des petites frappes, sont retrouvés sauvagement assassinés. L’enquête démontrera vite qu’ils avaient importuné une jeune étudiante, dont d’ailleurs tous ceux qui lui causent des problèmes ont de sérieux ennuis...

Jeudi 1er Septembre 1938 L’attention de la BMS est attirée sur le cas d’un double meurtre qui a eu lieu vers 4h du matin, rue Cardinet. Deux petites frappes qui trempent dans les milieux interlopes du nord de Paris - Guizeppe Ranza et Robert Legagneux - ont été refroidis de manière assez peu conventionnelle. Ranza a été proprement égorgé et saigné ; Legagneux a été mutilé, écorché vif au niveau du visage, il a eu la cage thoracique enfoncé et a souffert de multiples lacérations avant d’être empalé encore vivant sur une grille à plusieurs mètres de hauteur. L’expertise légale du Dr Sabiani confirme le rapport de police et le précise de nombreux détails sanglants. De plus, il indique que les lacérations semblent avoir été portées par des griffes d’un droitier qui auraient perdu l’annulaire droit. Le patient interrogatoire des riverains permet d’établir qu’un troisième homme aurait (…)
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Le dernier métro

Cette enquête débute par une simple vérification d’une affaire révélée par la presse à sensation : A Paris, un éboueur se serait volatilisé sous les yeux de son collègue de travail, pendant la nuit, durant la collecte des poubelles ! Les quatre agents envoyés par le commissaire principal Laspalès sur cette enquête-poubelle en reviendront passablement ébranlés, affirmant avoir sauvés la capitale voire la France entière. Laspalès accueillera leur récit avec scepticisme, voici néanmoins le rapport de leur incroyable journée décrite dans le rapport de l’inspecteur Morvan.

Rapport d’enquête de l’inspecteur Gérard Morvan, agent 160 de la BMS, commandité par le Commissaire Principal Laspalés. Déroulement : Le mardi 5 Juillet 1938, dans le journal des concierges, « Détective », un entrefilet relate la disparition d’un boueux, dans le XIIIème arrondissement de Paris, disparition signalé par son collègue, nord africain, Jamel El Housni. Cette disparition, relatée par les quelques lignes publiées à la va-vite, serait des plus mystérieuse puisque l’homme se serait volatilisé sous la yeux de son partenaire. Il nous semble parfaitement évident que cette histoire est une nouvelle sornette afin de délecter les ménagères en manque de sensation et pour leur faire travailler l’imagination. De plus, à la radio le nouveau chef d’œuvre de Charles Trenet, « Boum » est diffusé et c’est dans cette ambiance bon enfant que le Commissaire nous demande d’aller enquêter (…)
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Le Monstre de Roquefort

La BMS enquête sur la mort d’un randonneur, survenu sur le plateau du Cambalou sur la commune de Roquefort sur Soulzon. Un autre randonneur, ami de la victime, est accusé du meurtre mais il affirme que lui et son ami ont été attaqués par un horrible monstre ressemblant à un sanglier géant. L’équipe de la BMS envoyée sur place découvrira quelques incohérences dans le rapport des gendarmes. Puis l’équipe cessa de donner des nouvelles après le 5 juillet 1938...

Ce scénario a été joué lors de la 31e convention de jeux de rôles de Sup’Aéro (février 2010)

La momie de Bobigny

Une étrange momie est retrouvée par un batelier du canal de l’Ourcq, flottant sur les eaux près de Bobigny. La BMS enquête et en vient à soupçonner un occultiste vivant sur une péniche, un certain Martial Péronne, dont la compagne, fille d’un riche industriel, est portée disparue... Les agents de la BMS accompagneront cet occultiste dans ses recherches, qui les conduiront dans un tunnel désaffecté du canal garni d’inscriptions cabalistiques - rien de moins qu’un portail dans une autre dimension, dont revinrent seulement les agents de la BMS passablement secoués par leur aventure...

RAPPORT D’ENQUETE AFFAIRE n°63 « Momie de Bobigny » ENQUETEURS : Inspecteur Principaux Laspalès, Plavier, Luzet DEROULEMENT : A l’aube du 16 août 1919, un batelier de Bobigny nommé René Fremont découvre dans un canal latéral au canal de l’Ourcq, un corps flottant. Il s’agit d’une momie ancienne et il prévient aussitôt les autorités. L’affaire est confiée à la police judiciaire en la personne de l’inspecteur Léonce Caponi, vieille connaissance de la BMS, qui se montre comme d’habitude dépassé par les évènements. Avertis par une mention sur le bulletin de police générale, nous sommes saisis de l’affaire sur ordre du commissaire Fèvre et reprenons l’enquête que Caponi était sur le point de classer. Le rapport du médecin légiste indique sans ambages qu’il s’agit d’un corps momifié dont le décès remonte à plusieurs dizaines d’années au moins, pour ne pas dire centaines. Il ne (…)
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Ce scénario est l’adaptation de l’excellent "Slow Boat" de Peter F. Jeffry et Mark Morrison paru dans le supplément "Fearful passages" (Chaosium, 1992).

Un p’tit tour au PMU

La BMS enquête sur un curieux meurtre survenu au champ de course à Longchamp. La victime est un émigré juif allemand qui venait de gagner de grosses sommes au jeu. Le meurtrier a tout d’une créature surnaturelle...

Le jeudi 9 juin 1938, un homme a été retrouvé mort dans les toilettes publiques de Longchamp. Les circonstances de ce décès ont attiré l’attention de la Brigade Mobile Spéciale : il semble qu’une partie de son torse ait été désintégrée et cautérisé par un acide. Une même forme conique de désintégration est visible sur le mur des toilettes. Toute la cabine était parsemée d’une étrange mousse vert sombre. Les premiers témoins arrivés sur place ont en outre mentionné une forte odeur nauséabonde. Sur le corps, les papiers, les clefs et les gains importants du défunt (18 000 Francs !) ont été retrouvés, ce qui semble éliminer un mobile crapuleux au crime. L’identité du défunt est donc rapidement connue : il s’agit un émigré Juif allemand, Franz Jacobowitz, originaire de Munich et né en 1893, récipiendaire de la Croix de Fer - 2ème classe. Il serait arrivé en France en septembre 1937, (…)
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Ce scénario a été joué lors de la 32e convention de jeux de rôles de Sup’Aéro à Toulouse (février 2011)

Korlat Projekt

La branche occulte du 2eme bureau de l’armée française demande, et obtient après arbitrage gouvernemental, le droit de faire des expérience sur le mystérieux cube ramené par la BMS lors d’une mission en Hongrie. Ces expériences débouchent sur un drame : 12 morts au fort d’Ivry, dont deux agents de la BMS. Officiellement, il s’agit de l’explosion d’un dépôt de munitions. Officieusement, ce cube a débouché sur une mission que les agents de la BMS comme ceux du 2eme bureau ne seront pas prêts d’oublier...

<img117|center> Si les nazis étaient parvenus à leurs fins... Une guerre des services Cette histoire commence le 7 mai 1938 par une réunion au quai des orfèvres entre le colonel Collot, chef de la branche occulte du 2eme bureau, et les responsables de la BMS le commissaire divisionnaire Conti et le commissaire principal Laspalès. Collot réclame pour ses services de disposer du mystérieux cube ramené par la BMS de Hongrie quelques mois plus tôt. Laspalès refuse catégoriquement et se cabre : le cube est un portail dimensionnel qui donne sur le lieu où est caché un livre maudit (le Korlat) enfermant une puissante créature démoniaque. Il faut mieux la laisser où elle est. La conversation prend alors le tour suivant : Collot : « Les boches étudient le surnaturel à des fins militaires. Il faut entrer dans cette course pour maintenir une parité. » Laspalès : « L’étude du (…)
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Wattman Show

La BMS enquête sur la déposition auprès de la police de Marseille d’un Wattman conduisant un tramway sur une ligne traversant le 12e arrondissement de la cité phocéenne. Un homme criblé de balles et poursuivi par deux mystérieux agresseurs aurait sauté dans son tramway. Ses yeux étaient blancs comme de la neige, son haleine empestait comme mille charognes, et sa force était phénoménale car il avait fait un bond de plus de trois mètres ! Il s’est hissé à la force des bras sur le toit de la rame, où il s’est pris le courant - il est alors tombé inanimé.

Galéjade ou fait impliquant le surnaturel ? La BMS part enquêter à Marseille et ne tarde pas à découvrir que certains patrons ont trouvé un moyen pour réduire leurs coût salariaux en cette période de crise : faire travailler les morts !

Je tiens à remercier vivement Monsieur Frédéric Lefevbre et son projet d’amendement visant à autoriser les salariés en arrêt maladie à travailler. Il n’y avait qu’un pas à faire pour faire travailler les morts. J’ai saisi la balle au bond !

Nem vagyunk angyalok

Le 2e bureau, grâce à ses contacts en Europe de l’Est, a pisté les recherches qu’entreprennent les nazis de l’Ahnenerbe pour rechercher le « Korlat », un livre maudit écrit en langue Hongroise, et en alphabet runique. Il contient le savoir des shamans hongrois au sujet de la lutte contre les démons des steppes Asiatique, au temps où les hongrois étaient un peuple de l’Oural. La BMS va faire équipe avec les militaires pour mettre la main sur cet ouvrage maudit avant les nazis et réaliser une haletante course contre la montre dans la Hongrie victime des exactions du parti fasciste des croix fléchées.

Un kidnapping. Cette histoire débute sur les chapeaux de routes pour les agents le 18 janvier 1938. Le commissaire principal Laspalès reçoit un coup de fil du colonel Collot, chef de la branche occulte du 2eme bureau, lui indiquant qu’il a besoin de toute urgence d’une équipe d’agents pour aller mettre en sécurité les occupants d’une maison de la région parisienne à Louveciennes (SO de Paris), 15 rue Auguste Lenoir, où habite Mme veuve Cristina Hegedus. Habitent également dans le petit pavillon sa fille Anna épouse Robert, son gendre Pierre Robert et leur fille Sophie Robert née en 1935. Il indique rapidement qu’il s’agit de la famille d’un occultiste hongrois réfugié en France nommé Janos Hegedus et décédé il y a quelques années, qui a aidé le 2eme bureau dans le passé. Les services d’écoute du 2e bureau viennent d’apprendre de source sure qu’une équipe d’agents allemands de (…)
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La table de Sala Colonia

La BMS est saisie par le résident général du Maroc, le général Noguès, sur l’assassinat de trois sujets britanniques membres d’une expédition archéologique sur le site de Sala Colonia, près de la ville de Rabat. Un commissaire de police est décédé quelques mois plus tôt dans des circonstances semblables... brulé par une sorte de feu follet tombé du ciel !

20 avril 1938. Le commissaire principal Laspalès convoque une équipe d’enquêteurs au petit matin. Des nouvelles inquiétantes lui sont parvenues de la résidence générale du Maroc : trois archéologues britanniques, messieurs Foster, Rodney et Remington sont décédés de façon suspecte le 14 avril dernier alors qu’ils faisaient des fouilles sur le site archéologique de Sala Colonia, l’ancienne cité romaine près de laquelle a été bâtie la ville de Rabat. Le professeur Rodney et le contremaître M. Remington sont morts en plein jour sur le site des fouilles, brûlés par des feux follets, au vu des nombreux ouvriers arabes du site. Quant au professeur Foster, il est décédé le même jour dans sa chambre à l’hôtel « Etoile de la cité nouvelle » de Rabat, victime d’un incendie. Un quatrième décès suspect a également eu lieu par le feu quelques mois plus tôt, le 18 janvier 1938 : le commissaire (…)
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La bête de l’abbaye

La BMS enquête sur plusieurs disparitions survenues en Bretagne, sur la commune de Saint Quay Portrieux...

L’OSAR

Alors que Paris est secoué par un attentat qui détruit le siège du patronat français, la BMS participe avec ses collègues de la PJ à un gigantesque coup de filet dans les milieux de l’extrême droite et se retrouve face à un vieil ennemi.

Pour la République

La mort d’un chasseur de Vampire connu des services de la BMS, un certain Edouard Molyneux conduit les agents à réaliser une enquête plus approfondie des conditions de son décès. Cela les conduira dans une périlleuse chasse au vampire au terme d’une enquête dans les cercles de l’extrême-droite monarchiste...

Une vieille connaissance 20 avril 1928. Le bulletin de police révèle la mort d’Edouard Molyneux, dont le corps, couvert d’ecchymoses, aurait été trouvé sans vie dans une rue du 5e arrondissement de Paris. Etant donné que M. Molyneux est bien connu de la BMS comme étant un chasseur de vampires (Voir dossier n°92 « Monsieur ! Monsieur ! Vous oubliez votre chapeau ! »), les agents se saisissent du dossier pour reprendre l’enquête. Celle-ci est d’ailleurs bien mal en point, car confiée au commissaire Caponi, peu connu pour sa perspicacité. Il transmet le dossier aux agents avec soulagement, car, selon lui, « Les indices sont plutôt maigres ». Il pense cependant que Molyneux a été victime d’une rixe d’une bande de voyous qui l’ont tabassé avec des gourdins, comme l’indique le rapport d’enquête qu’il a rédigé. Laspalès découvre également que Caponi a été chargé de l’enquête par un juge (…)
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La comète

La BMS mène une enquête internationale contre un puissant sorcier dans laquelle sera ni plus ni moins sauvée l’humanité !

Un livre disparu Décembre 1907. Le commissaire Conti convoque un groupe d’agents pour leur confier une enquête des plus délicates : la bibliothèque de la BMS a été forcée ! « Je connais un suspect : un sujet britannique du nom de Phillip Wilner. Il m’avait contacté au sujet d’un livre, le Livre d’Ivon que la BMS a récupéré dans la bibliothèque personnelle de l’ex-inspecteur Deborah Firshyde, abattue par nos agents après qu’elle eût perdu la raison et basculé dans l’adoration des grands anciens... Ce Phillip Wilner, dont je ne sais comment il pu trouver mon adresse, m’écrivit pour me réclamer ce livre dont il se dit propriétaire et affirme qu’il lui aurait été emprunté par Mlle Firshyde. J’ai donc envoyé une fin de non-recevoir à ce Monsieur il y a quelques jours. Et ce matin, j’ai découvert que la bibliothèque occulte de la BMS a été forcée et le Livre d’Ivon dérobé ! Plus grave, (…)
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L’après-midi d’un faune

Dans la région de Reims secouée par des conflits sociaux, un chêne centenaire pousse en une nuit au milieu de l’allée du chateau de la famille Loucheux, des industriels locaux. Les soupçons de la BMS se porteront rapidement sur le jardinier, mais l’enquête sur la famille Loucheux leur fera découvrir un sombre secrêt...

Extrait du carnet de notes de l’inspecteur Charles Legrasse Octobre 1936 L’équipe de la Brigade Mobile Spéciale est composée par : – Achenar Dumort, commissaire, – Antoine Moulin, inspecteur principal, – Philippe Evrard, inspecteur principal, – Arthus de Laffère, inspecteur chef , – Charles Legrasse, inspecteur stagiaire, 1ère mission. L’inspecteur Achenar Dumort, matricule n°12, vient d’être promu, après trente ans de boîte au rang de commissaire, tout comme les inspectrices Luzet et Valois. Le commissaire Dumort part enquêter avec les inspecteurs Moulin et Evrard suite à une dépêche sur le télégramme général de police du jour : Près de Reims, dans le jardin du château de Verzy, un chêne centenaire a poussé en UNE nuit ! Je me trouve non loin du lieu avec l’inspecteur De Laffère, en tant qu’inspecteur stagiaire. J’ai été recruté par la BMS, en partie à cause de mon (…)
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Garçons bouchers

La BMS, en enquêtant sur le meurtre d’un sergent de ville, découvre un trafic de cadavres destiné à satisfaire les appétits pour le cannibalisme d’une communauté ukrainienne dans le quartier parisien de Ménilmontant. L’intervention de la BMS se solda par un désastre opérationnel et permit au culte de dissimuler ses activités compromettantes...

Rigor Mortis

La BMS doit lutter contre le grand ancien Chaugnar Faughn débarqué par ses adeptes dans une caisse dans le port de Marseille. Cette créature ressemblant grossièrement à une tête de cadavre d’éléphant posée sur un corps de Bouddha regagne ensuite à pied son pays basque natal en faisant plusieurs victimes sur son passage. Les agents de la BMS auront fort à faire pour le combattre mais bénéficieront de la collaboration d’outre tombe de plusieurs alliés inattendus...

Beau geste

Les agents de la BMS sont réquisitionnés par l’armée, en fait rappelé sous les drapeaux pour servir dans l’armée française sous les ordres du maréchal Pétain pendant la guerre du Rif. En effet, une colonne entière de soldats semble avoir été anéantie par une "tornade" surnaturelle. Les agents identifient des Polypes volants qu’ils parviennent à neutraliser en mobilisant des moyens militaires importants. Mais ils découvrent aussi que ces créatures ont été invoquées par un collaborateur indigène du 2eme bureau de l’armée française ! Il a agi ainsi rendu fou de douleur par le massacre de sa famille par un bombardement aérien du village, avec des obus au gaz dont les agents de la BMS découvrirent qu’ils avaient été largués par l’aviation française sur ordre de Pétain. Ils ne donnèrent cependant pas de publicité à cet acte barbare dans leur rapport d’enquête.

LETTRE PRÉSENTÉE PAR LE PRÉSIDENT DU CONSEIL, M. PAINLEVÉ, AU COMMISSAIRE CONTI LORS D’UNE RÉUNION AU SOIR DU 25 AOUT 1925 RESIDENCE GENERALE DE LA RÉPUBLIQUE FRANCAISE AU MAROC ÉTAT MAJOR Du Maréchal Commandant en chef 2°bureau N°652 M.G. Rabat, le 25 août 1925 Le chef d’escadron (R) BONNIER Chef du 2eme Bureau Afrique Antenne MAROC A Monsieur le lieutenant-colonel COLLOT - Etat major 2eme bureau Service P.I. PARIS OBJET : Demande urgente d’intervention au Maroc J’ai l’honneur de vous rendre compte des faits inexpliqués suivants survenus dans le protectorat du Maroc dans une vallée du haut Ouergha. Dans l’après-midi du 21 août 1925 une colonne de 60 légionnaires comprenant une auto-mitrailleuse WHITE-LAFFLY a été anéantie selon les (…)
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Retour à Chatonnay

Approfondissant leur enquête sur le culte Cthuloïde sévissant dans le canton d’Arinthod, les agents de la BMS reviennent poursuivre leur enquête sur place après avoir réalisé des recherches à Paris et à Lyon. Alors que la neige tombe sur le Jura, les cinq agents vont réussir à décapiter le culte tout en subissant eux-mêmes de très lourdes pertes.

Rapport de mission du 16 au 22 février 1937 Inspecteur de Police stagiaire Germain Lanquetot Les inspecteurs principaux Evrard et Moulin, les inspecteurs Oujac et Lanquetot ont reçu l’ordre de repartir pour la localité de Chatonnay sous la direction de l’inspecteur Legrasse de manière à conclure de manière satisfaisante l’enquête de la semaine précédente. L’inspecteur Oujac, à Lyon, a pris contact avec la fiancée du journaliste Lecomte, sans que cela n’apporte rien à notre enquête. Le reste de l’équipe a néanmoins rejoint l’inspecteur Lecomte - après s’être armé de manière significative - pour écumer les archives de l’archevêché de Lyon. Il apparaît qu’un culte basé à proximité d’Arinthod a déjà été signalé par l’inquisiteur dominicain Clément Lejeune en 1244 dans une lettre adressée à Jean Ier de Chalons. Il y fait allusion comme à un culte païen ancien, dangereux et organisé (…)
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Note : Une enquête postérieure de la BMS a permis d’élucider les conditions exactes du drame ayant causé la mort de plusieurs agents.
Les cinq agents sont arrivés en lisière de la clairière, pour voir un membre du culte en relever un autre de son tour de garde. Ce dernier quitte les lieux, fusil de chasse en bandoulière.
Puis est venu l’assaut du Sombre Rejeton de Shub-Niggurath : Evrard devient fou et s’enfuit avec la mitraillette thompson, l’arme la plus efficace des agents. Lanquetot et Legrasse commencent à tirailler avec leurs fusils et révolvers sur la créature (sans grand effet) qui traverse la clairière à leur rencontre, tandis qu’Oujac fait de même avec un FM Chauchat qui tire très lentement et finit probablement par s’enrayer. L’inspecteur principal Moulin, au lieu de tirer, poursuit Evrard pour lui prendre la mitraillette... Quand il y parvient, la créature a chargé sur les agents et dévoré Oujac, tandis que Lanquetot et Legrasse esquivent du mieux qu’ils peuvent les terribles tentacules. Moulin arrose littéralement la scéne avec la mitraillette qu’il maîtrise mal : deux balles perdues touchent Lanquetot qui s’effondre. Puis la mitraillette s’enraye... Mais à ce moment, le membre du culte parti de la clairière est revenu sur les lieux : il tire avec son fusil de chasse dans le dos de Moulin. Ce dernier est touché et portait dans son sac des bâtons de dynamite, qui ont explosé, pulvérisant lui-même, le cultiste, Legrasse et la créature. Lanquetot a survécu par miracle, étant allongé dans un léger creux au moment de l’explosion.

Simple vérification

Un agriculteur du Jura, quelque peu dérangé, dénonce à un journaliste local en mal de scoop qu’il a été témoin depuis fort longtemps de sabbats se déroulant dans les forêts de son village. Il attire l’attention de la BMS quand il est mentionné comme étant décédé dans le bulletin général de police, retrouvé suspendu en équilibre sur deux branches d’un arbre... Les agents de la BMS envoyés sur place découvriront des indices troublants, mais ne parviendront pas à confondre le culte Cthuloïde qui sévit dans la région.

11 février 1937 (Jeudi). La brigade mobile spéciale décide de dépêcher un groupe d’inspecteurs pour aller enquêter sur le décès survenu le 9 février d’un habitant de Chatonnay, petit village du Jura du canton d’Arinthod, que le bulletin général de la police décrit dans sa rubrique « bizarreries » comme ayant été découvert couvert d’ecchymoses, avec une jambe déboîtée, suspendu sur les branches d’un arbre comme s’il en était tombé du sommet. Plus troublant, la victime, nommée Fernand Ruchon, avait déclaré dans la presse locale (article du 7 février 1937 du journal « Le progrès », signé Jean Claude Lecomte) quelques jours plus tôt avoir depuis toujours été témoin de sabbats d’adorateurs du diable dans les forêts du secteur. Le rapport de gendarmerie, signé de l’adjudant chef Pajon, chef de la brigade d’Arinthod, indique que le corps de M. Ruchon a été trouvé par un voisin, Monsieur (…)
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Mes excuses aux habitants de Chatonnay et d’Arinthod qui tomberaient sur cette page par hasard : ce récit n’est que pure fiction, et il n’y a bien sûr jamais eu de culte satanique dans ces villages ! En revanche, la forêt et les paysages du Jura ont réellement quelque chose de fascinant, ce qui a guidé mon inspiration...

Sie sind hier !

La BMS est sollicitée par le gouvernement helvétique, conformément à un vieux traité d’assistance, pour aller enquêter sur un meurtre survenu dans un hôtel de Zurich. Un homme, un retraité fortuné, a été assassiné dans la nuit par on ne sait trop quoi. Son corps est complètement desséché. Son épouse, qui a assisté au drame, est placée dans un hôpital psychiatrique. Elle regarde les plafonds fébrilement et hurle "Sie sind hier !".

En se rendant sur place et collaborant avec des enquêteurs Suisses spécialisés dans le surnaturel, les agents de la BMS découvrent qu’une créature a bien été invoquée. Mais elle s’est trompée de cible et visait en fait le client de la chambre voisine, qui est actuellement en fuite. Il s’avère que cet homme, âgé de quatre vingt ans, venait d’Allemagne pour effectuer des retraits dans des coffres de banques suisses. Les agents de la BMS découvriront qu’il s’agissait du colonel Von Bock !

Une demande du gouvernement helvétique Vendredi 8 juillet 1932. Alors que la journée touche à sa fin, les trois agents de permanence, l’inspectrice principale Valois ainsi que les inspecteurs Foccard et Belloni sont convoqués par le commissaire principal Laspalès. Ils ont la surprise d’apprendre qu’ils doivent partir immédiatement pour la Suisse pour mener une enquête à Berne à la demande du gouvernement fédéral helvétique. Le commissaire principal Conti, présent lors de l’entretien, leur apprend en effet qu’un traité secret datant de Napoléon offre à la Suisse l’assistance de la France pour l’enquête et la lutte contre les phénomènes surnaturels. Le cas sur laquelle enquête la police Suisse semble pour le moins étrange : un couple de retraités apparemment sans histoires, M et Mme Zimmermann, ont été attaqués pendant la nuit du 7 au 8 dans leur chambre d’hôtel de Zurich par... (…)
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La piste espagnole

Suite à la terrible affaire des grèves de mai, qui faillit causer la perte de plusieurs agents de la BMS, une piste dans l’enquête aboutit à la conclusion que des ordres avaient été transmis d’un monastère de Madrid aux sbires de la Cabale. Des agents de la BMS débarquent alors officieusement dans ce pays en pleine guerre civile pour y mener l’enquête, sous la couverture de volontaires dans l’escadrille internationale d’André Malraux...

Les grèves de mai

Alors que la France entière est en grève suite à la victoire du front populaire aux élections et que certains craignent une révolution communiste, deux agents de la BMS sont assassinés au fusil-mitrailleur lors d’une embuscade sur une route de province. Le commissaire principal Laspalès envoie alors une équipe d’agents expérimentés reprendre cette enquête qui devait être une mission de routine. Elle aboutira en fait à une confrontation à grande échelle face à un ennemi implacable : la Cabale !

Les douanes de la canebière

La douane volante du port de Marseille a ait une prise surprenante dans un hôtel du vieux port : un petit objet métallique en forme de pyramide, décoré d’étranges inscriptions. En les manipulant, un visage apparait au sommet, et parle !
C’est une pyramide atlante et la BMS dépêche sur place de toute urgence une équipe d’agents. Le propriétaire de cette pyramide est un archéologue allemand, venu à Marseille dans un hydravion Junkers 52 qui y a fait une escale technique...

L’expert

Février 1936. Le commissaire principal Laspalès envoie ses agents de permanence enquêter sur la disparition de Simon Ackerman, un spécialiste des sciences occultes parlant plusieurs langues, à qui la BMS avait confié la traduction d’un de ses précieux livres...
Les agents, après enquête, découvrirent que M. Ackerman, passionné de lecture, a tout simplement utilisé son savoir occulte pour se transporter ailleurs afin d’étudier tranquillement... A la bibliothèque de Cealano, sur une planète lointaine !

Dans l’abime

Le suicide d’un étudiant de l’école normale supérieure de la rue d’Ulm, fils d’un ministre, conduit des agents de la BMS à enquêter à la demande du commissaire principal Laspalès. Etudiant mélancolique amateur de poésie, il aurait sombré dans une profonde dépression après avoir découvert un bien étrange recueil de poésies. Les agents de la BMS découvriront en fait que la lecture de cet ouvrage entraîne l’attention du dieu extérieur Hypnos, contre lequel ils ne sortiront pas indemnes.

Arts graphiques

L’attention de la BMS est attirée par une revue artistique dans laquelle s’expriment des peintres. L’un d’eux, disciple du peintre américain Jackson Pollock, y fait l’éloge des drogues qui le mettent dans un état second et lui donnent l’inspiration pour peindre. Les rèves qu’il décrit ont tout de visions du mythe de Cthulhu... Une équipe de la BMS enquête et découvre avec effroi que d’une part la peinture de cet artiste (qui est absent de Paris) est assez troublante, et d’autre part que son revendeur de drogue (un certain Constantin Symansky) est un sectateur du mythe de Cthulhu ! Echouant à arrêter ce dernier, les agents retrouvent le peintre dans sa résidence familiale de Normandie. La maison est cernée de sombre rejetons de Shub Niggurath qui réduisent en bouillie la voiture des agents ; ceux-ci parviennent miraculeusement à gagner l’abri de la maison où les monstres n’attaquent pas. Ils rencontrent ainsi le peintre assiégé, et découvrent que celui-ci peint la nuit pendant son sommeil une fresque représentant le dieu extérieur Shub-Niggurath ! Les rejetons s’agitent dès qu’on fait mine de toucher à la toile. Ni une ni deux, l’inspecteur-chef Evrard préfère coller une balle dans la tête du peintre plutôt que de courir le risque de voir cette monstruosité invoquée par l’achèvement de la toile. Les agents s’enterrent dans la cave et parviennent à survivre à l’assaut des sombre rejetons qui ont détruit la maison...

La valise d’Amérique

La BMS est saisie d’une enquête sur un décès survenu dans les eaux internationales, à bord d’un paquebot reliant le Brésil à l’Europe. La victime, un scientifique brésilien, a vraisemblablement été assassiné et les objets de valeur qu’il avait placé dans le coffre du navire sont suffisamment étranges pour justifier l’envoi d’agents de la brigade... L’enquête conduira une équipe d’agents dans une des régions les plus reculées de la jungle amazonienne.

Aux sources du Styx

La BMS enquête sur le meurtre d’un archéologue français survenu en Grèce. Très vite, il s’avère que les commanditaires de l’attentat viennent d’Allemagne, et recherche ni plus ni moins que les sources du Styx d’où ils espèrent retirer cette eau miraculeuse qui rendrait invulnérable ! Une traque épique se terminant en Islande lancée par les agents de la BMS démontra que ce projet était loin d’être une chimère...

La secte

La BMS est avertie par l’office of naval intelligence américain de l’arrivée sur le territoire national de deux individus jugés très dangereux car membres d’une secte satanique. Leur interpellation au Havre par les agents de la BMS tourne au cauchemar avec l’évasion du chef de secte connu sous le nom du "MAITRE". Les agents se précipitent au château du Comte Kelnor, en Normandie, où il est sensé se rendre. Ils sont accueillis fort courtoisement par le propriétaire des lieux qui drogue à leur insu les deux agents. Ceux-ci se réveilleront prisonniers du manoir de l’Enfer !

L’instinct de l’ange

La BMS enquête sur un attentat contre l’acteur Sacha Guitry, dont le suspect semble être un fantôme ! De fil en aiguille, la BMS en découvrira l’identité : le pilote de la grande guerre Georges Guynemer, et découvrira que sa disparition cache un secret d’Etat bien gardé...

L’hydre

La BMS enquête sur un homme d’affaires sur lequel la Cabale porte un intérêt tout particulier : Alexandre Stavisky. Elle réalise que celui-ci est clairement manipulé par la Cabale, qui utilise sa propension au jeu pour le conduire à s’endetter de plus en plus, ce qui le contraint à mener des escroqueries de plus en plus risquées sur lesquelles il semble « aiguillé ». La BMS découvre qu’il joue avec un vampire au casino de Biarritz qui utilise ses pouvoirs hypnotiques pour lui faire perdre une fortune. Une embuscade est tendue au mort vivant à la sortie du casino, les agents de la BMS parvenant à piéger sa voiture et à en mitrailler les occupants. Plus tard, à l’annonce du suicide de Stavisky, une manifestation organisée par l’extrême droite le 6 février 1934 menace l’assemblée nationale - les hommes de la BMS parviennent à détruire un vampire qui galvanisait les manifestants dans les rues de Paris, et qui aurait pu contribuer à renforcer les émeutiers. La république a eu chaud...

Aéropostale en péril !

A la demande du commissaire principal Fèvre, la BMS intervient au Sahara pour le compte de la compagnie Latécoère. Un de leurs pilotes, tombé avec son avion dans le désert, a été capturé par des Maures. Mais ceux-ci l’ont vendu à une tribu du désert qui en a offert un bon prix. Tout laisse à penser que le malheureux sera sacrifié à une divinité Cthuloïde... L’affaire prend une tournure dramatique quand on découvre que la pile de l’Atlantide (voir dossier n°75), stockée dans le désert de Mauritanie, a été également volée par cette mystérieuse tribu ! Cette dernière, qui vivait dans une sorte de canyon dans le désert, se préparait à faire avaler la pile à une horrible créature informe en honneur de laquelle ils comptaient sacrifier le pilote. Le tout en présence du Dieu Nyarlathotep, qui était venu accompagné de plusieurs créatures volantes ! (Photo) Mettant en œuvre des moyens aériens considérables (Breguet 14 des lignes Latécoère et des forces françaises du Maroc), les agents de la BMS parviennent à détruire toutes ces manifestations d’horreur, à sauver ce pilote et à récupérer la pile. Les survivants n’oublieront pas de sitôt cette aventure mémorable...

Un sauvetage de pilote. 28 mars 1924 : Le téléphone retentit dans les locaux de la BMS. L’agent de permanence répond et a la surprise de trouver en ligne le commissaire principal Fèvre, qui ordonne la constitution d’une équipe pour une mission qui conduira ses membres à enquêter dans le désert. « En quelques mots, un pilote des lignes aériennes Latécoère a dû atterrir dans le désert du Sahara Espagnol. Il est entre les mains d’une tribu hostile qui semble ni plus ni moins être composée d’adorateurs de créatures du mythe de Cthulhu ! Rejoignez-moi à Toulouse, à l’hôtel du Grand Balcon, avec une équipe prête à l’action. Je vous y exposerai tous les détails de cette affaire dont je viens d’être informé par M. Latécoère ». Une équipe composée des inspecteurs d’Auclin du Loup, Luzet, Beaumont et Rodier rassemble ses affaires pour ce grand raid et se dirige sur l’aérodrome de (…)
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D’accord, je sais, l’Aéropostale n’existait pas à cette époque, étaient en service "les lignes aériennes Latécoère". Cela sonne toutefois mieux dans le titre...

On retiendra une citation de l’inspectrice principale Jeanne Plavier-Luzet :
"Didier Daurat, c’est un connard !"
(La joueuse de ce personnage le dit encore quand on passe dans l’avenue Didier Daurat...)

La main du sépulcre

Septembre 1933 : un agent de la BMS proche de la retraite, Emile Rivière, fait une crise d’hystérie et doit être interné dans un hôpital psychatrique. Le commissaire Laspalès lui avait confié depuis 1929 la direction des recherches sur "La Cabale", comprenant la découverte de l’indentité de quatre des six vicaires de l’archevèque de Paris Pierre de Guiers qui vivait au 17e siècle, et que l’on soupçonne d’être tous devenus de puissants Vampires. Reprenant l’enquête de leur infortuné confrère, les agents découvrent que les documents qu’ils recherchent ont été méticuleusement effacés de toutes les archives publiques et siphonnés de boutiques des bouquinistes. Grâce à leur perspicacité, ils parviennent à découvrir un ouvrage historique possession d’un collectionneur anglais qui leur révèle l’identité des quatre vicaires et leur permet d’identifier le lieu de sépulture de l’un d’eux en Bretagne. Sa tombe fut "nettoyée" non sans mal et sans embûches rencontrées par les agents, qui firent face à un puissant ennemi surnaturel. Plus inquiétant, la découverte d’une photo récente que le mort vivant aurait confié à un de ses serviteurs humains, et qui représente un financier connu du tout Paris nommé Alexandre Stavisky.

De Subterranea

Une vente privée d’un ouvrage occulte organisée à Anvers met les agents de la BMS aux prises avec les services secrets nazis du major Goëssler et leur permet de défaire ceux-ci au Maroc où ils tentaient de s’emparer d’artefacts dans une cité perdue visiblement issue de la civilisation de l’Atlantide.

Je suis un chasseur

La station de métro Abbesses, près de Montmartre, a été témoin d’un fait divers sanglant : un voyageur aurait été aggressé pendant la nuit par un africain armé d’un couteau rituel. Fort heureusement, la victime s’est débattue et par miracle a pu échapper à l’emprise de ce "sauvage", suffisamment pour appeler au secours et permettre à une patrouille d’agents de police d’arriver. Affaire classée : le sauvage est placé sous les verrous, la police (en la personne du commissaire Darielle) a bouclé son enquête et un procureur sur de lui espère bien faire passer le sauvage au coupe-cigare, il est encouragé en cela par une certaine presse. Qui en fait se soucie du sort d’un tirailleur sénégalais ?

Les agents de la brigade mobile spéciale, justement. Pour eux, cette affaire n’est pas aussi simple que ça. La "victime", un certain Boris Alexeï Tchakolevitch, a très bien récupéré du coup de couteau qu’il s’est pris dans la poitrine. Son passé n’est pas si net que cela... Et quant au sénégalais, pourquoi aurait-il demandé une permission pou aller commettre un crime dans Paris ? Tout juste consent-il à dire aux agents : "Je suis un chasseur".
En effet. un terrible secret dort sous Montmartre...

Collection sueurs froides

Un écrivain de roman d’épouvante est signalé comme ayant disparu par son éditeur. La BMS se saisit de l’affaire en découvrant les premières pages de son nouveau roman, dont il projetait de finir l’écriture...

L’étrange machine du professeur Ravanel

La Brigade détruit une machine à remonter le temps construite sur une île bretonne par un savant fou financé par la Main Rouge.

Août 1905. Un rapport de police indique que dans le ville de Brest a été retrouvé le cadavre d’un citoyen britannique nommé Jack Saunders, qui a été retrouvé « vidé comme une mouche séchée au soleil ». Les circonstances de ce décès assez étrange conduisent à la Brigade Mobile Spéciale d’être saisie de l’affaire. Plusieurs agents montent dans le premier train pour la Bretagne... Brest Les agents se dirigent dès la sortie de la gare vers la brigade de gendarmerie pour prendre connaissance des éléments de l’enquête. Ils ont la surprise de tomber dans les bureaux sur un citoyen britannique qui bataille avec un gendarme, essayant de lui faire comprendre qu’il est un policier britannique. Des explications très polies ont lieu avec cet homme qui fait voir une carte de policier britannique et s’identifie comme étant l’inspecteur Dutton. Très courtoisement, il s’excuse de ne pas être (…)
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N’ouvrez pas la porte...

1898. Extraordinaire : d’horribles bruits sont entendus dans le domicile d’un archéologue français nommé Jean Ibarus, alertant le voisinage. Dans le désordre du parvillon dévasté, les agents de la police parisienne découvrent le cadavre du propriétaire ainsi qu’un bruit, ou plutôt une phrase répétée sans cesse... elle vient d’un masque égyptien qui parle, et dont les yeux suivent du regard ! (photo) Une équipe de six enquêteurs d’élite est alors constituée ad hoc par le commissaire Fèvre, comprenant des policiers professionnels ainsi que des occultistes réputés, comme le profeseur Lucien Fergel connu pour son appartenance à la Golden Dawn. Ce sera le noyau de la future brigade mobile spéciale.

Les meilleurs egyptologues parviennent à traduire la phrase répêtée par le masque : "N’ouvrez pas la porte". La mort de cet archéologue est assez étrange, broyé contre un mur ! C’est comme si un rhinocéros enragé avait tout dévasté l’intérieur du pavillon... Très vite, les enquêteurs établissent que l’archéologue Jean Ibarus a bien été assassiné au moyen d’une force inconnue. Il revenait précisément d’un voyage en Egypte et venait de faire des découvertes qu’il disait prodigieuses, sur une civilisation inconnue vivant à l’aube de l’humanité dont les égyptiens anciens seraient les descendants. Il a la preuve que cette civilisation possédait un développement technologique très avancé, et comptait publier ses recherches mais sa mort l’en a empêché. D’après des indices relevés dans ses carnets de voyage, il semble qu’il ait été assassiné par des hommes d’une puissance étrangère, qui (…)
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Opium noir (1) : Ah ! Si vous connaissiez ma poule...

En enquêtant sur la mort d’un petit escroc, la BMS va découvrir l’existence d’un réseau de trafic d’une drogue utilisant une composante surnaturelle, l’Opium noir.

4 mai 1926 Paris, quai des orfèvres, bureaux de la Brigade Mobile Spéciale. Le docteur Sabiani est contacté par un ami exerçant la profession de médecin légiste à l’hôpital de la santé. On vient de lui amener le corps d’un pensionnaire de la prison voisine qui présente quelque chose de peu commun : quelque chose bouge dans sa cage thoracique. Cinq agents partent avec le docteur Sabiani pour assister à l’autopsie (Inspecteurs Lafleur, de la Montmorandière, Rapenaud, Martel, et Rodier) Sur place, ils apprennent que le défunt s’appelait Alphonse Bédard et purgeait une peine à la prison de la santé pour escroquerie. Au moment de commencer l’autopsie, cinq hommes maladroitement déguisés en infirmiers font irruption et indiquent qu’ils ont ordre de transférer le corps. L’inspecteur de la Montmorandière les prend en photo par surprise avec son flash au magnésium, ils sortent alors des (…)
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Une sale affaire

(Directement inspiré d’un scénario paru dans le supplément "Out of the vault")

Fait divers classique : une fillette est enlevée par un détraqué. Oui mais voilà : la population accuse un homme excentrique, se livrant à des expériences d’électricité dans sa cave. Il se trouve que la BMS avait déjà fiché cet individu comme étant à surveiller... Les choses s’avèreront moins évidentes qu’elles ne le paraissent. Prenant un problème après l’autre, les agents parviendront à retrouver la fillette, arrêter son ravisseur, et refermer un portail ouvert vers Yuggoth...

Alter Post Fulmina Terror

Des agents de la BMS partent dans un village de la France profonde enquêter sur deux décès par la foudre à quelques jours d’intervalle, survenus alors que le ciel était pleinement dégagé. Ils découvrirent que les notables du cru se livrent à un curieux passe-temps...

Tu retourneras poussière

La BMS enquête sur plusieurs profanations de sépultures dans des cimetières des environs de Toulouse où des ossements et cadavres sont dérobés. Les agents réalisent vite qu’il s’agit d’un apprenti nécromancien, mais qui agit dans un but bien précis...

Jeunes appelés du contingent

Un groupe de jeunes appelés du contingent effectuant des manœuvres militaires dans les montagnes des Vosges enneigées, tombe fortuitement sur un groupe de Fungi de Yuggoth qui s’apprêtaient à réaliser l’invocation d’une horrible créature. Malgré le grand froid, ils réussissent courageusement à éliminer ces créatures. Deux de ces jeunes appelés furent ensuite recrutés par la BMS...

Comptabilité Corse

Un rapport écrit par un fonctionnaire de la préfecture d’Ajaccio et adressé au ministère de l’intérieur attire l’attention de la BMS. Plusieurs meurtres et disparitions semblent avoir pour point commun le village de Christinacce, situé dans une zone reculée à l’intérieur de l’île. Mais fait curieux, la population du village semble être restée strictement identique depuis une centaine d’années... Le poste de Maire est accaparé par la famille Simoni. Or, la BMS découvre dans ses archives qu’elle eut à faire quelque vingt ans plus tôt (voir dossier n°20) à un certain Ursule Simoni, réanimateur de cadavres...

Le veilleur dans la vallée

La police d’Alger signale à la BMS une curieuse histoire : un archéologue réalisant des fouilles dans une vallée de l’Atlas a été pris de folie, en fonçant à Alger dans sa voiture et en s’immolant par le feu dans sa bibliothèque de l’université d’Alger. Une étrange statuette en bois représentant un grossier crapaud a curieusement survécu à l’incendie... La BMS détache plusieurs agents en Algérie pour mener l’enquête. Ils découvrent que l’équipe d’archéologues dont le fou faisait partie est sur le point de réaliser des fouilles sur un tumulus qui abrite en fait une créature semi immatérielle connue sous le nom de Lloigor... (Photo)

Enchères à Drouot

Le commissaire principal Conti sursaute en feuilletant un catalogue des ventes à Drouot : est mis en vente un ouvrage occulte majeur, « L’horresco referens », issu des confessions d’un ancien membre de la ligue aux pires périodes des guerres de religion. L’ouvrage est sensé attirer l’attention du Diable sur toute personne le lisant en intégralité, et les histoires que l’on colporte sur les personnes qui l’ont possédé donnent foi à cette rumeur... La BMS doit intervenir sur deux fronts : d’une part, acquérir le fameux ouvrage, ce qui peut être fait sans dépenser une fortune car une enquête minutieuse démontre que le livre a été volé aux archives nationales le siècle dernier. D’autre part, enquêter sur mystérieux vendeur qui souhaite préserver son anonymat. Il s’agissait d’un vampire, que les agents de la BMS parvirent à tuer avec ses serviteurs au prix de lourdes pertes. Ils reçurent l’aide d’un certain Stéphen Alzis, occultiste mystérieux rencontré à Drouot. Il disparut de la circulation après avoir fait une apparition au domicile du vampire détruit par les agents de la BMS, et avoir déclaré « Je vous l’avait dit, toute personne lisant dans son intégralité l’Horresco Referens s’attire l’attention du Diable ».

Les ors de la République

Moment historique pour la BMS : le commissaire principal Fèvre fait valoir ses droits à la retraite, et le commissaire Laspalès est promu commissaire principal et proposé à son poste. Une cérémonie est organisée, avec remise de décorations par le ministre de l’intérieur Monsieur Sarrault. Un vin d’honneur est ensuite servi, le problème est que le ministre boit comme un trou et que le traiteur, se retrouvant à sec, a servi une bouteille de vin trouvée dans un bureau. Il s’agissait du vin de Montoriol (voir dossier n°62), ayant la faculté d’envoyer le buveur dans le monde du rêve pendant son sommeil. Les agents s’étant rendu compte de ce fait après le départ du ministre, ils partirent à sa recherche dans le Paris by Night pour le retrouver profondément endormi entouré de charmantes demoiselles au célèbre bordel « One Two Two ». Impossible de le réveiller... Les agents se résolurent à boire du vin eux aussi pour assurer la protection du ministre dans le monde du rêve.

OVRA

La police marseillaise signale à la BMS le cas d’une jolie italienne, fuyant son pays poursuivi par les fascistes. Elle recherche son oncle qui s’est réfugié en France. Tout l’intérêt pour la BMS est qu’elle a dans ses bagages une valise d’artéfacts du mythe de Cthulhu, "des objets précieux appartenant à son oncle". Il semble que l’oncle soit un investigateur luttant contre le mythe de Cthulhu, que les services secrets du colonel Tondi veulent enrôler de force... La BMS mène son enquête pour retrouver l’oncle qui vit caché dans la région de Marseille, protégé par des émigrés italiens. Visiblement les services secrets fascistes, l’OVRA (Oeuvre de Vigilance et de Répression de l’Antifascisme) sont sur sa trace également, et bénéficient de complicités parmi l’extrême droite locale. La BMS, se méfiant de tout le monde, finit par le retrouver et à le mettre en lieu sûr dans la région parisienne, où il devint un "consultant" pour le service. Sa jolie nièce s’avéra être une agent de l’OVRA...

Bandits sur les Carpates !

Un avion de ligne de la compagnie Franco-Roumaine est attaqué sur un vol Bucarest-Vienne-Paris par des chasseurs Fokker au-dessus des Carpates, et ne doit son salut qu’à s’être réfugié dans un gros nuage. La BMS se saisit de l’affaire en voyant les photos des avions agresseurs : ils ont sur leur aile supérieure une sorte de « lance pierre », qui rappelle clairement un détecteur de la civilisation de l’Atlantide ! Les agents découvrent que parmi les passagers figurait la fille d’un responsable d’une compagnie minière exploitant en Roumanie une mine expropriée à une société allemande après la guerre. Elle portait un médaillon « antique » qui a été trouvé dans une galerie... Des agents de la BMS se rendent sur place en avion et découvrent que cette mine contient une découverte archéologique majeure sur l’Atlantide, que les services secrets du colonel Von Bock avaient découvert et tenté de dissimuler en dynamitant des galeries ! Les agents mettent à jour un objet mécanique complexe et tentent de le rapatrier à Paris par avion (un Farman Goliath), se méfiant de la population locale composée d’Allemands de souche. Malheureusement, le gros Farman sera abattu peu après son décollage par des chasseurs Fokker, malgré la protection de chasseurs Nieuport 42 pilotés par des agents de la BMS qui descendirent plusieurs assaillants. On retrouva dans les montagnes l’épave du Farman et l’objet mécanique, mais hélas celui-ci fut endommagé dans la chute et ne révèlera pas son étrange secret.

Opium noir (9) : Razzia sur la schnouff

Ultime épisode de ce qui fut la plus grande enquête de la BMS : les agents coupent les deux extrêmités du réseau criminel.

7 août 1926 : Après trois semaines de voyage sur un navire des liaisons maritimes, les inspecteurs Rodier, de Saint-Véran et Sarraut sont de retour en France à Paris où il font un compte-rendu oral de leur longue expédition et donnent la composition du remède. Les commissaires principaux Fèvre et Conti organisent une réunion de tout le service pour décider de la conduite à tenir. Le commissaire Laspalès, qui a supervisé une surveillance des laotiens dans Paris, pense que Nuran Hmong a dû reconstituer ses filières de production d’opium noir car la drogue continue d’être distribuée. Après avoir pris l’avis de l’ensemble des agents, les deux commissaires principaux décident d’agir et de procéder à l’arrestation de Nuran Hmong qui continue à distribuer sa drogue à Paris. Charge aux agents de trouver suffisamment de preuves (de la drogue dans un bâtiment qu’il possède, etc...) car il (…)
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Monsieur ! Monsieur ! Vous oubliez votre chapeau...

Où un chapeau oublié conduit les agents de la BMS dans une chasse au vampire toute vaudevillesque...

Paris, août 1926. Lundi soir. Quatre agents de la BMS se retrouvent en milieu de soirée dans une grande brasserie parisienne après une éprouvante journée de filature. Il y a le célèbre Commissaire Laspalès, et les inspecteurs Marinette Valois, Charles Beaumont, et Edmond Bourreau, une nouvelle recrue. La brasserie est bien pleine et les agents remarquent un couple sur une table à côté de la leur. L’homme est un gigolo vêtu d’un costume à la dernière mode, cheveux gominés en arrière, une fleur sur la veste et chaussures « Charleston ». La dame est jeune et assez jolie, très maquillées et joliment vêtue sans être à la dernière mode. Elle se lève alors pour aller aux toilettes se repoudrer, laissant seul le playboy. C’est à ce moment là qu’entre un homme d’aspect sévère, vêtu de noir avec des lunettes d’écaille. Il porte une canne et une épaisse mallette de docteur. L’homme (…)
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Opium noir (8) : Indochine

La BMS termine son enquête sur le lieu de naissance de l’Opium noir : l’Indochine. Elle y découvre une vieille histoire impliquant un collborateur de la branche occulte du 2eme bureau de l’armée...

29 juin 1926 : Les agents rembarquent sur le cargo des messageries maritimes en direction de Saigon en Indochine. 8 juillet 1926 : Leur cargo arrive à Saigon dans la soirée. Ils se présentent alors au capitaine de Rosay, l’homme du 2eme bureau local, qui semble être un homme à bout de nerfs, usé par l’alcool et le stress. Il prend leur lettre de mission avec désinvolture mais fait en sorte de les loger au cercle de garnison de Saigon. Les agents visitent la ville et son port plein d’activité, et font un repérage au 9 rue de la poste où se trouvent les locaux de la société du Nord Mékong. Le soir, dans un bar, ils retrouvent le capitaine de Rosay imbibé d’alcool dont ils ne peuvent rien tirer des lambeaux de phrases qu’il répond, si ce n’est qu’il est profondément désabusé et découragé. Ils passent ensuite leur première nuit en Indochine, qui est particulièrement éprouvante pour (…)
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Opium noir (7) : Aventures sur la Mer rouge

Après le Liban, des agents de la BMS poursuivent leur enquête en Mer Rouge où ils retruisent un maillon supplémentaire du réseau des traficants auquel collaborait une personnalité française peu orthodoxe...

Les agents survivants retournent en camion à Beyrouth, emmenant avec eux les corps de leurs camarades tués au combat. L’inspecteur Rodier remercie les légionnaires en leur donnant un peu d’or trouvé dans le coffre des trafiquants. Un télégramme rendant compte du raid est envoyé à Paris. 7 juin 1926 : La BMS répond d’attendre l’arrivée de renforts puis de continuer l’enquête au proche orient et notamment sur le trafic en mer rouge via Djibouti, de façon à collecter un maximum d’indices avant de lancer une expédition en Indochine contre le centre de production de la sève noire. Est ordonné également de rapatrier avec escorte l’agent blessé (l’inspecteur Evrard) ainsi que le corps de l’inspecteur principal d’Auclin du Loup. L’inspecteur Duchemin se propose d’accompagner ses camarades en France et ils embarquent le soir même pour Marseille à bord d’un cargo. 8 juin 1926 : Un (…)
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Opium noir (6) : A l’ombre des cèdres

Peu après la mort du chef du réseau de traficants en France, la BMS va frapper sur le lieu de transformation de la drogue, au Liban, où la pègre locale semble contrôler jusqu’aux autorités coloniales françaises par la corruption.

La nouvelle de la mort de Karaboudjian est une bonne nouvelle pour la BMS, qui a désorganisé la filière d’importation de l’opium noir en France. Cependant, le commissaire principal Fèvre tempère l’ardeur de ses agents : la guerre des gangs ne fait que commencer à Marseille, pour le contrôle de ce juteux trafic. Après une période de chaos, il est fort à parier que les Laotiens de Paris trouveront d’autres « associés », ou que la filière libanaise réorganise ses réseaux. Ils peuvent tenter de faire passer la drogue de manière classique, en se risquant aux douaniers. Il est donc décidé de maintenir la surveillance des Laotiens et de ne les arrêter qu’une fois la production de cette drogue surnaturelle complètement détruite. Et qu’une fois l’antidote, s’il existe, découvert par la brigade... Une équipe est mobilisée pour le Liban où plusieurs indices télégraphiés par l’équipe de la (…)
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Opium noir (5) : Opération Tapenade !

La BMS réalise un raid sanglant contre un des grands chefs du réseau de traficants, Joseph Karaboudjian, et parvient à l’abattre dans sa villa provençale.

25 mai 1926 : Suite au raid manqué du 17 mai dernier, le commissaire principal Conti a réuni tous les vétérans du service et au cours d’une réunion de crise sont examinées toutes les pistes de l’enquête. Le commissaire Laspalès retrouve ainsi son vieux camarade, le commissaire Anthyphon, avec qui il effectua les premières enquêtes du service il y a 25 ans... Le principe d’un nouveau raid contre la villa de Karaboudjian est discuté. Le problème de la force de frappe est à résoudre, tout comme la légalité de l’affaire... doit-on solliciter le concours des forces de police locales ? Doit-on compter sur les seuls moyens de la BMS ? 26 mai 1926 : Un télégramme est reçu d’Egypte de l’équipe menée par l’inspecteur chef de la Montmorandière, qui leur apprend la teneur de l’entretien avec « K », le chef de l’intelligence service britannique. La BMS décide de lancer une nouvelle action (…)
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Opium noir (4) : Import-export

Un groupe d’agents de la BMS part enquêter en Egypte sur ce réseau de traficants, et apprennent des autorités britanniques le caractère réellement international de cette organisation tentaculaire.

Les inspecteurs de la Montmorandière et Durieux, après avoir convenu avec Dante Nardi de rester en contact, se précipitent à l’hôpital pour récupérer l’inspecteur Lafleur et la mettre à l’abri d’éventuels tueurs de Karaboudjian. Ils se rendent tous à Cassis, dans un hôtel discret, où ils se remettent de leurs émotions après avoir rendu compte du raid désastreux à la BMS à Paris. Contacté au téléphone, le commissaire Fèvre leur promet l’envoi de renforts qui partiront dès demain. 18 mai 1926 quatre agents de la BMS prennent le train aux aurores à la gare de Lyon : les inspecteurs-chefs Marinette Valois et Rémy Martel ainsi que les inspecteurs Etienne Bonnefoy et Barnabus de Saint-Véran. Bonnefoy revient de sa première mission qui semble l’avoir fortement perturbé car on décèle chez lui des tics nerveux... Quant à Barnabus de Saint-Véran, c’est un nouvel agent qui vient d’être (…)
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Opium noir (3) : Du sang à Marseille

Poursuivant dans la pègre Marseillaise l’enquête sur le trafic d’Opium noir, la BMS essuie des pertes dans ses rangs et découvre la puissance de l’organisation criminelle qu’elle combat.

Retour à l’hôtel de police. De St Lienard et Durieux vont au journal « le Provençal » mais ne trouvent pas de notes laissées par le journaliste. Pour la nuit l’équipe se trouve un hôtel dans Marseille près de la gare du Prado. 15 mai 1926 Les agents retournent le matin à l’hôtel de police demander les adresses de proches du journaliste assassiné pour les interroger de nouveau. Ils se rendent alors au marché aux poissons trouver Mme Bouzou, qui y tient une échoppe. Méfiante, elle est ensuite convaincue par le sérieux des policiers parisiens et consent à leur parler, mais après le marché. Ils se rendent alors en attendant à l’adresse de Nicole Rascaguères : elle a déménagé. A midi, Mme Bouzou révèle que son neveu Séraphin et Nicole comptaient se marier ; elle avait été présentée par ces derniers à la mère de Nicole dont elle donne l’adresse. Les agents s’y rendent sans tarder, et (…)
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C’est pas le moment !

Alors que tout le service est mobilisé pour l’enquête de l’Opium noir, quelques agents sont envoyés enquêter sur les ruines d’une maison ayant appartenu à une étrange secte, sur un lac de Sologne. Il semble que la branche occulte du 2eme bureau ait déjà "traité" la menace qui s’y trouvait à l’époque de Napoléon III... Mais n’est pas mort ce qui à jamais dort !

Opium noir (2) : De la Marne à la Canebière

Poursuivant leur enquête, les agents de la BMS vont mener une descente dans un entrepôt des traficants dans la région parisienne et découvrir que le coeur du trafic se trouve à Marseille.

8 mai 1926 : Le commissaire Laspalès prend en main l’affaire après avoir passé une engueulade aux agents qu’il soupçonne d’avoir répandu des bruits dans la presse mondaine sur le fait qu’il aurait eu un fils caché en 1915 avec une prostituée. Retour à Paris de l’inspecteur de la Montmorandière, qui rend compte de la possible existence d’une salle de jeu clandestine chez « Mimile ». Il est convenu que l’inspecteur Martel supervise une surveillance permanente du restaurant/fumerie d’opium « les splendeurs de Saigon ». La journée est consacrée à se trouver un lieu pour effectuer une planque, ainsi qu’à effectuer une enquête de voisinage qui ne donne rien sinon que plusieurs asiatiques semblent habiter dans les appartements au dessus du restaurant. 9 mai 1926 : 2eme journée de surveillance. Les agents découvrent que dans la journée, des asiatiques vont faire des livraisons d’opium (…)
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Le village maudit

Une créature volante est aperçue survoler de nuit un village du Massif Central. Les cloches de l’église sonnent la nuit actionnées par un fantôme... Bref le village est maudit ! La presse et l’épiscopat s’en mêlent, mais la BMS démontre "avec tact et circonspection" que ces étranges évènements étaient provoqués de façon à faire fuir les habitants, les poussant à vendre leurs terres à vil prix, afin qu’une compagnie minière puisse les racheter. La créature volante n’était autre qu’un avion amateur, un "Pou du ciel", à la voilure quelque peu modifiée pour la faire ressembler à une grosse chauve-souris.

Héritage sanglant

Les agents de la BMS interviennent pour le compte d’un de leurs anciens collègues, l’inspecteur principal Marc Lebrun, dont la belle-famille est victime d’une horrible malédiction...

Terreur sur la Ruhr !

La BMS est sollicitée par le ministère de la guerre pour intervenir dans la ville de Mayence, occupée par des troupes Françaises suite à la convention d’Armistice. Plusieurs attentats ont eu lieu contre des soldats français, dans des circonstances démontrant clairement l’implication de forces surnaturelles ! Les agents de la BMS mènent leur enquête dans des conditions difficiles, toute la Ruhr étant en état d’insurrection contre « l’occupant français ». Ils découvrent la présence d’un groupe d’extrémistes menés par le major Goessler, vétérans du service secret du colonel Von Bock. Ils préparaient une invocation de Cthugha au-dessus de la zone portuaire de la ville, là où était stocké le charbon en partance vers la France ! Les agents parvirent in extremis à neutraliser des fous dangereux, mais pas à se saisir de leur chef...

L’exposition

Un vol est commis au Louvre : une statue en bois représentant un esclave africain a disparu. On ne retrouve que ses chaînes en métal. La BMS comprend vite qu’il ne s’agissait pas d’une simple statue...

Le gang des braqueuses

(L’idée de départ est inspiré d’un épisode des brigades du tigre.)

Plusieurs hommes riches sont détroussés dans des conditions plus où moins ridicules (pour eux) par de ravissantes jeunes femmes qu’ils courtisaient. La presse adopte ces garçonnes et suit avec délectation les exploits du « le gang des braqueuses », d’autant plus que la police parisienne du commissaire Caponi se montre incapable de les arrêter. L’affaire tourne au tragique pour ces jeunes femmes quand elles se mettent à dévaliser un élégant maharadjah hindou, qui s’avère être un dangereux sectateur du mythe de Cthulhu recherché par l’intelligence service britannique, qui en averti la BMS...

Sorti des terres d’Anatolie

Un militaire allemand qui était resté caché depuis l’armistice est capturé à Istanbul. C’était un collaborateur direct de Von Bock et les services secrets français (BMS et 2eme bureau), anglais, italiens et américains rivalisent de vitesse pour essayer de découvrir des documents qu’il aurait stockés dans la ville. La BMS, collaborant avec les services secrets de la marine américaine représentés localement par un certain Clarence Reiner, parvient à saisir ces documents et découvre que les services prussiens étaient en 1918 sur le point d’entreprendre des fouilles sur un site archéologique atlante en Anatolie. La BMS organisa ces fouilles, et malgré l’opposition de troupes turques sans doute téléguidées par des services secrets étrangers, découvrit une pile énergétique atlante que des savants français et américains purent examiner une fois celle-ci mise en lieu sûr. Elle fut stockée dans le désert, en Mauritanie.

Les lames du destin

Une enquête de la BMS dans le milieu parisien, impliquant un étrange jeu de tarot possédant une carte supplémentaire : « Le Roi en jaune ».

Le léopard et le vent

(Il s’agit de l’adaptation directe d’un scénario publié il y a fort longtemps (comme le temps passe...) dans la revue "Cassus Belli".)

La BMS dépêche plusieurs agents en AOF, dans la colonie de côte d’Ivoire, pour lutter contre un culte indigène maléfique.

L’éventreur de Montmartre

Un tueur en série que la presse à sensation à tôt fait de baptiser « l’éventreur de Montmartre » s’en prend à des prostituées de la capitale, les mutilant d’une telle façon que la BMS se saisit du dossier. Les agents finissent par trouver et abattre le coupable : un ancien officier colonial ayant servi en Indochine. Des indigènes vivant dans la capitale ont désiré se venger en lui inoculant par l’intermédiaire d’une prostituée asiatique une terrible maladie : des visages humains lui poussaient sur le buste et lui chuchotaient d’horribles secrets...

Longeverne

Un village reculé du Massif Central attire l’attention de la BMS. On y dénombre régulièrement des mutilations de bétail, mais aussi la disparition dans la région d’un gendarme et d’un professeur d’université. Plusieurs agents se rendent sur place pour mener une enquête, et se retrouvent coupés du monde par la neige. Ils parviendront avec difficulté à neutraliser un horrible culte cthuloïde qui y sévissait !

En partant vers la Syrie

En Syrie, pays confié à la France par la Société Des Nations, Le 2e bureau de l’armée découvre des documents des services secrets du colonel Von Bock. Ceux-ci prouvent que pendant la grande guerre, les hommes de Von Bock conduisaient des recherches sur un temple assyrien situé dans le désert aux limites actuelles de l’Irak. Le 27 septembre 1920, des indigènes terrorisés rapportent avoir vu pendant la nuit une immense lueur bleue surgir du désert. Le 2e bureau y envoie une expédition... Qui n’est jamais revenue. Sollicitée, la BMS relève le défi et y envoie des agents, qui après une véritable bataille rangée au sol contre d’horribles créatures et un combat aérien épique parvirent à détruire une ruche de Fungi de Yuggoth qui commençait à croître dans les ruines du temple !

Le Roi de Fiume

Un rapport d’un agent consulaire français informe la BMS de la présence du colonel Von Bock dans la ville de Fiume ! Des agents se rendent sur place pour savoir ce qu’il y prépare. La ville est alors la capitale de la république pirate dirigée par le poète Gabrièle d’Annunzio. Les agents découvrent que Von Bock supervise l’évacuation vers l’Allemagne par la voie des airs d’objets atlantes stockés dans une cache sur une île de Dalmatie. Les agents tendent une embuscade aérienne au gros hydravion allemand venu faire le convoyage. Un furieux combat aérien eut lieu contre les hydravions de chasse qui en assuraient l’escorte et qui tinrent en échec les aviateurs de la BMS.

Le rituel du fond des âges

La BMS combat une secte meurtrière adorant une créature nommée Yamaris, une divinité vénérée par certaines tribu gauloises. Ils sont d’ailleurs sur le point de parvenir à leurs fins : ressusciter leur dieu qui aurait été enfermé dans une gangue de pierre sous terre par des druides. La seule façon de tuer ce dieu est d’utiliser une lance enchantée par le sacrifice de plusieurs femmes. La BMS a la surprise de retrouver une de ces lances dans le village de Gembais (Seine et Oise), où un petit chauve barbichu aurait commencé la confection d’une telle arme (Photo). Malheureusement, il est incarcéré à la prison de la santé...

Le secret de Marseille

Il s’agit de l’adaptation directe du scénario paru dans le supplément "King of Chicago".

La BMS enquête dans la pègre marseillaise, et découvre que l’un des « parrains » dirige un culte Cthuloïde tourné vers l’adoration de divinités marines. L’intervention de la BMS permit de démanteler ce culte mais de découvrir que de grosses « bébêtes » nagent sous les eaux au large de la ville...

Par delà le mur du sommeil

La BMS est saisie du cas de plusieurs morts suspectes survenues dans la région parisienne : un homme retrouvé dans son lit les poumons remplis d’eau de mer, un autre enfoncé dans son lit comme s’il avait fait une chute de plusieurs étages, un autre qui s’est réveillé fou... Tous ont en commun de s’être endormis dans leur lit ! Les agents découvrent dans leur enquête que les victimes ont aussi en commun d’avoir été des vétérans du 318e régiment d’infanterie pendant la grande guerre, et d’avoir reçu une bouteille de fin offerte par une association de mutilés de guerre qui l’amène en mains propres. La BMS découvre alors que les mutilés, cachés par des bandages, sont en fait des goules, et qu’elles portent un curieux vin ayant la capacité de faire entrer le buveur dans le monde du rêve pendant son sommeil. Le commanditaire de ce complot n’était autre que le soldat Montoriol, mort au champ d’honneur et dont l’esprit se trouve dans le monde du rêve, mais qui cherchait à se venger de gens qui lui avaient déplu dans l’enfer des tranchées...

Voraces

La BMS intervient dans la Russie en pleine guerre civile pour une affaire privée. Un soldat, fils de ministre, est porté disparu en Ukraine suite à l’intervention de la marine française à Sébastopol en 1919. Il aurait été capturé par une bande de pillards Ukrainiens au comportement particulièrement atroce faisant en fait penser à des sectateurs du mythe de Cthulhu. C’est d’ailleurs ce que confirme un soldat français à Sébastopol, l’unique survivant de son groupe... Guidés par ce dernier, trois agents de la BMS se rendent en hydravion sur le lieu de la capture dans la campagne ukrainienne enneigée. Ils tombent en fait dans un piège : leur guide n’était en fait pas un survivant, mais l’homme qu’ils recherchaient. Il était devenu le chef d’un groupe d’Ukrainiens que la famine avait contraint au cannibalisme et qui s’étaient parfaitement pliés à ce nouveau régime au point de faire des raids pour capturer de la nourriture... Des trois agents, un fut tué, et un autre porté disparu, ayant rejoint le groupe d’ukrainiens... Celui qui revint a eu sa santé mentale assez atteinte et son comportement cannibale avéré par son attitude dans une autre mission amena la BMS à provoquer son internement.

Une lettre de Pologne

Dans la Pologne nouvellement recrée, le deuxième bureau de l’armée française constate la présence d’un terrible Freikorps allemand aux frontières de la Prusse orientale et de la Biélorussie, perpétrant massacres et autres atrocités. Il semblerait que son chef soit en réalité un puissant vampire sorti de son sommeil on ne sait trop comment, peut-être par une intervention des services secrets prussiens qui auraient un peu trop présumé de leurs capacités à le contrôler... La BMS devient partie prenante dans cette affaire par une lettre qu’elle reçoit, signée par un certain « Comte Wladislaw Glowczynski », se présentant comme un « ami de la France », et requièrant l’aide de la BMS en lui demandant d’amener en Pologne un médaillon de piété de St Gilles, ayant appartenu à un officier français de l’époque napoléonienne. Seul ce médaillon permettrait de s’approcher de la tombe du vampire et d’échapper à ses puissants pouvoirs psychiques. Il propose un rendez-vous aux agents dans Varsovie. Les agents enquêtent sur le possesseur initial de ce médaillon, un certain capitaine de Villeneuve ayant servi en Polognesous Napoléon. Ses descendants possèdent toujours ce médaillon et la BMS le réquisitionne pour se diriger en Pologne et aller au rendez-vous. Mais là, point de Comte Glowczynski, mais la redoutée Simone Pouffiot, chasseuse de Vampire fanatique ! Elle propose aux agents un plan pour aller faire sauter à la dynamite le tombeau de ce vampire des lacs Mazures dont elle connaît l’emplacement, ce qu’ils acceptent de faire sans chercher à explorer plus en avant la piste de leur mystérieux correspondant. Hélas leur expédition tourne au désastre et leur camion chargé d’explosifs tombe dans une embuscade, tuant plusieurs agents. L’inspecteur principal Laspalès, revenu grièvement blessé, affirme avoir d’ailleurs réglé son compte à la Pouffiot, « qui est un remède pire que le mal que nous combattons ! ». C’est finalement un raid aérien en Breguet 14 qui permettra de faire sauter le tombeau de ce vampire et d’exposer son corps à la lumière du jour où il y brûla. Ce raid rencontra l’opposition d’avions allemands, et certains pilotes de la BMS victimes des pouvoirs psychiques du vampire changèrent temporairement de camp durant le combat...

SOS Tour Eiffel

Ce scénario est inspiré de l’épisode du même nom des Brigades du tigre.

La grande guerre est enfin terminée et la BMS peut se reposer de plusieurs années de lutte contre les services secrets prussiens. Un des agents se rend dans sa banque pour y déposer sa prime de démobilisation, et est témoin d’un braquage de type particulier : des malfaiteurs masqués armés d’armes de guerre font irruption, prennent le contenu du coffre et brûlent les billets de banque ! Plusieurs autres cas semblables sont signalés dans Paris, où les bandits ne semblent agir que par goût du risque. La BMS se saisit exceptionnellement de cette affaire « de droit commun » car la première banque attaquée est celle du banquier Ribot-Duval, un profiteur de guerre dont le fils Philippe est bien connu de certains agents qui l’ont mener des attaques quasiment suicidaires contre les tranchées ennemies. Les agents découvrent que Philippe Ribot-Duval est à la tête d’un groupe de malfrats qui commettent des méfaits uniquement par simple goût de l’adrénaline. L’affaire se corse quand ils décident de faire sauter la tour Eiffel... La BMS parvient à les arrêter en investissant les souterrains grâce aux indices que Philippe Ribot-Duval avait volontairement semé derrière lui, pour laisser une chance à la police. Il périt en perdant à un match à la roulette russe contre un policier qu’il avait contraint à participer...

La guerre magnétique

En Champagne, un secteur des tranchées françaises est retrouvé complètement dévasté, avec des pièces d’artilleries comme fondues sur place. Les témoignages de soldats français survivants font état d’une lumière bleue qui est venue du ciel pendant la nuit... Pour la BMS, il s’agit sans nul doute d’une arme secrète utilisée par les services secrets de Von Bock, développée à partir de technologie atlante. Des reconnaissances aériennes françaises font état d’une mystérieuse construction dissimulée dans une forêt derrière les lignes allemandes. Les agents de la BMS planifient alors une offensive locale pour s’en emparer, impliquant l’action simultanée de corps francs, de tanks Renault FT 1, et d’une couverture aérienne...

L’homme de l’Atlantide

Cette affaire commence en réalité par la désertion d’un hydravion autrichien qui se pose à Brindisi, suite aux mutineries ayant eu lieu dans le port autrichien de Cattaro. De ses trois occupants, si deux sont des militaires mutins, un autre est un « scientifique étranger » contraint de travailler avec un groupe d’allemands sur la base de Cattaro. C’est du moins ce que rapportent les deux militaires déserteurs aux officiers italiens chargés de les interroger. Car ce troisième homme est muet comme une carpe, et possède avec lui un curieux appareil en forme de lance-pierre fait d’un métal étrange. Il disparaît d’ailleurs inexplicablement de sa prison en emmenant avec lui son curieux objet... La BMS est alors sollicitée par les italiens quand plusieurs meurtres d’officiers navals sont commis à Brindisi, que des témoignages désignent comme ayant été perpétrés par ce même homme mystérieux qui semble doté d’une force surhumaine. Les agents de la BMS mènent l’enquête et découvrent que les officiers italiens assassinés sont affectés à bord du plus puissant cuirassé de la marine italienne actuellement présent à Brindisi, et qu’ils fréquentaient une maison close dont la patronne travaillait pour les Autrichiens. Elle donnait à ses officiers, par l’intermédiaire de ses filles, un médaillon présenté comme un porte-bonheur mais réalisé dans un étrange métal. L’homme mystérieux tente à tout prix de les récupérer, tuant absolument tout sur son passage. Il dût être abattu par la BMS dans une embuscade, car on supposait que d’autres officiers étaient sur sa liste.

En recoupant les témoignages des aviateurs déserteurs, la BMS en déduisit que les services de Von Bock préparent de Cattaro une attaque contre la flotte italienne de Brindisi. Les médaillons confiés à des officiers italiens sont des émetteurs permettant à des torpilles utilisant la technologie de l’Atlantide de se diriger sur le navire... Von Bock a dû trouver un survivant de l’Atlantide et contraint à travailler pour lui. Il s’est échappé et a voulu récupérer la technologie ainsi disséminée. Les agents de la BMS découvrirent aussi par des reconnaissances aériennes l’existence d’un « atelier » à torpilles sur une île de la côte albanaise, qu’ils firent aussitôt bombarder par avion.

Le Kitab al Azif

En Palestine, la BMS réalise conjointement avec l’intelligence service britannique une opération commando pour s’emparer d’un site fouillé par les services du colonel Von Bock, pendant l’offensive générale lancée par le général Allenby. Ils poursuivent les fouilles dans ce qui est en fait un vieux monastère et trouvent des parchemins faisant référence à un temple secret où serait caché une des premières copies du Kitab-al-Azif, le fameux Nécronomicon ! Les agents de la BMS, se basant sur la carte et avec le soutien logistique des anglais, parviennent à localiser le temple secret et à retrouver le précieux ouvrage après avoir déjoué plusieurs pièges et affronté une horrible créature gardienne. Rentrant ensuite au Caire à bord d’un bombardier Handley Page, ils sont attaqués par des avions de chasse allemands, qui les contraignent à se poser dans le désert où ils sont rejoints par des soldats allemands déguisés en bédouins qui leur laissent la vie sauve mais leur dérobent le livre. Plusieurs agents de la BMS ont pensé s’être en réalité fait doubler par l’intelligence service...

Momies en folie

Plusieurs momies sont découvertes dans la région parisienne. La BMS découvre qu’il s’agit en fait des cadavres momifiés d’un groupe d’apprentis sorciers qui se sont essayés à l’invocation avec un livre du mythe. Mais la créature invoquée échappa à leur contrôle...

Le douzième tome

Lors d’une opération de contre-espionnage menée à Paris, la BMS découvre que des agents de Von Bock tentent de mettre la main sur un mystérieux ouvrage de mythe de Cthulhu se trouvant dans une bibliothèque privée de la capitale. Ils réussissent à déjouer les plans des espions allemands et à s’emparer du précieux volume... C’était en fait un piège, car il s’agissait du douzième tome des révélations de Glaaki, dont la lecture entraîne la possession du lecteur par le Grand Ancien nommé Y’Golonac. Les agents de la BMS ne se sortirent d’extrême justesse de leur confrontation avec cette créature démoniaque...

Le vase de Salonique

Une patrouille militaire découvre dans le secteur incendié de Salonique, dans les restes de la maison d’un turc, une puanteur atroce. Elle vient d’un étrange vase grec décoré de ce qui semble être d’horribles scènes de cannibalisme. La BMS dépêche des agents sur place, qui découvrent qu’un culte Cthuloïde local compte invoquer Shub-Niggurath près de la ville, et de faire en sorte que des spores émanant de ce dieu contaminent les cultures et les provisions de nourriture de la ville, provoquant une famine parmi les troupes alliées s’y trouvant. La BMS découvre aussi l’implication des services secrets du colonel Von Bock , qui a fourni à cette secte un objet permettant de faciliter l’invocation... qui fut finalement empêchée d’extrême justesse par les agents.

Sorti des profondeurs

La BMS grâce à des informations transmises par les services secrets italiens localise le colonel Von Bock à Trieste, en pourparlers avec l’amirauté Austro-Hongroise. Se rendant clandestinement dans la ville, ils déduisent de leur enquête que Von Bock compte utiliser une monstrueuse créature des profondeurs contre le port militaire italien de Brindisi, l’aviation navale autrichienne devant guider sa route en larguant des "appâts". Revenant à Venise dans des conditions rocambolesques, deux agents de la BMS partent à Brindisi en hydravion de chasse et parviennent d’extrême justesse à faire échouer ce plan diabolique par un combat aérien mémorable au-dessus du port.

Le groupe Condor

En France, la BMS déjoue une attaque des services secrets allemands visant à liquider l’état-major interallié. Ils auraient utilisé comme base arrière le temple grec flottant dans les nuages découvert en août 1916 et formé un commando d’hommes fusées équipés de propulseurs dorsaux individuels issus de la technologie atlante.

Le secret de la Pentapole

Le gouvernement italien a constitué un service secret spécialisé dans le surnaturel, dirigé par un certain colonel Tondi. Celui-ci fait appel à la BMS : les troupes italiennes ont capturé dans le désert libyen un officier allemand appartenant aux services secrets allemands du colonel Von Bock. Interrogé par la BMS dans sa prison de Tripoli, il révèle moyennant sa liberté qu’il était chargé par le colonel Von Bock de dresser une tribu Sénoussie utilisant le mythe de Cthulhu contre les troupes italiennes, et lui ont apporté des artéfacts anciens trouvés lors de fouilles, sensées les aider à convoquer des créatures du mythe qu’ils lanceraient contre les troupes italiennes. Ce n’était pas une bonne idée : ces indigènes ont sacrifié les conseillers allemands à leur dieu (il est le seul survivant) et s’apprêtent à invoquer une immense créature dormant sous les sables, adoré du temps des cinq cités antiques postérieures à l’empire romain... Grâce aux indications de ce prisonnier (qui sera échangé en Suisse contre l’inspecteur Laspalès, capturé en Autriche), la BMS peut repérer le lieu de l’invocation par une reconnaissance terrestre. L’invocation est alors bombardée par des avions Caproni montés par des équipages franco-italiens : ils durent affronter sur place des horreurs chasseresses volantes, dans ce qui fut le premier combat aérien contre des créatures du mythe.

La porte de l’Atlantide

En Grèce, la BMS double de vitesse les services secrets allemands qui recherchaient un temple atlante dans une caverne sur une île grecque mais doit en dynamiter l’entrée en raison d’un féroce gardien invisible qui tua un agent.

Au dessous du pré Saint-Gervais

La Brigade détruit par bombardement aérien un canon de type "Grosse Bertha" qui bombardait Paris d’obus chargés d’un mélange inconnu. Ces obus étaient destinés à réveiller un Chtonien endormi sous la capitale, dont le 2eme bureau avait connaissance de l’existence et semblait même être à l’origine...

Le corps disparu

La BMS enquête sur la disparition du corps d’un noyé de la morgue de Paris. Il ne s’agit pas d’un zombie : en réalité, cet homme avait volé des diamants qu’il avait ingéré, et a été tué par ses complices qu’il tentait de doubler. L’affrontement ayant eu lieu sur les quais de la Seine, l’homme est tombé à l’eau, et les complices ont voulu récupérer le produit de leur vol dans le corps dans leur ancien associé... Les agents de la BMS purent arrêter ce gang après une fusillade dans un ancien théâtre.

Le diable de Caporetto

La BMS part en Italie enquêter sur une manifestation surnaturelle survenue suite à un bombardement par l’artillerie autrichienne d’une vieille église isolée, sur le front de l’Isonzo. On raconte que du sang coula des ruines, et qu’un homme noir en surgit... Quoiqu’il en soit, les agents se rendant sur place n’ont pas le loisir de visiter les lieux : ils sont pris dans la retraite générale des troupes italiennes suite à l’offensive germano-autrichienne de Caporetto. Dans la tourmente, ils rencontrent un général italien se comportant avec une extrême cruauté envers ses troupes. Le soupçonnant d’être une incarnation de l’homme noir signalé, ils décident de l’assassiner et lui tendent une embuscade. Leur prévision s’avère être exacte, son corps une fois tué se transformant en une horrible monstruosité avant de disparaître. Mais jusqu’au bout, les agents de la BMS étaient dans le doute : la guerre ayant donnée lieu à de telles horreurs, ce général pouvait être tout à fait normal... et les agents se retrouver devant un peloton d’exécution pour haute trahison !

Le tournoi des damnés

La BMS enquête sur un pilote français, le capitaine de Gondrecourt, signalé comme abattu dans un avion en flammes et ayant sans une égratignure survécu au crash... Les agents découvrent qu’il est victime d’une malédiction ancestrale le liant à un adversaire perpétuel, la baron Ulrich de Saxe. Après avoir gagné sa confiance et enquêté sur les origines de cette malédiction remontant au moyen âge (une rivalité amoureuse ayant conduit au suicide de la demoiselle convoitée), les agents de la BMS en fouillant les bibliothèques occultes parviennent à découvrir un moyen permettant de mettre fin à la malédiction : l’organisation d’un tournoi... Il eut lieu au dessus des tranchées, entre des SPAD de Gondrecourt accompagnés de pilotes de la BMS, et les Albatros de l’escadrille d’Ulrich de Saxe qui fut tué dans l’affrontement. Le combat terminé, de Gondrecourt battit des ailes et disparut dans un nuage. On ne le revit plus jamais...

Trois taxis pour Bruges

La BMS détruit dans le port de Bruges un sous-marin allemand équipé d’un appareil de technologie atlante permettant de commander des Profonds. Les services secrets du Colonel Von Bock comptaient les utiliser pour poser des mines sous la coque des navires alliés.

Une journée en enfer ordinaire

Agissant avec l’Intelligence Service britannique, la BMS combat dans les tranchées anglaises des corps réanimés par les Allemands. Il semblerait que cette opération ait été lancée par un lieutenant de Von Bock ayant désobéi à son chef.

On vous enverra HASTUR

En Italie, le 2e bureau intercepte un télégramme autrichien où un haut-gradé promet au chef d’une escadrille se trouvant sur un aérodrome de montagne qu’il allait bientôt recevoir « HASTUR », ce qui devrait lui permettre d’éliminer l’ennemi. Il se trouve qu’HASTUR est le nom d’une créature cosmique... Disposant d’hommes entraînés sur place, la BMS envoie une équipe derrière les lignes ennemies pour contrer cette menace... Qui était en fait tout à fait ordinaire : il s’agissait des initiales de six bons aviateurs autrichiens fournis en renfort. Rentré dans les lignes italiennes après de multiples difficultés, l’agent Laspalès fut mis aux arrêts après avoir cassé la gueule de l’analyste du 2eme bureau l’ayant envoyé dans cette souricière...

Le prodige

A Sébastopol se trouve un individu doté de pouvoirs psychiques, qui informe depuis quelque temps la marine Russe des mouvements des bâtiments ennemis en mer Noire. Il se trouve que ce dernier parle d’un certain colonel Von Bock, se trouvant en Arménie et qui serait sur le point d’invoquer une terrible créature reposant au fond des eaux de la mer noire. Il faut l’en empêcher, toute la flotte russe est menacée. Prévenue par les services secrets Russes, la BMS dépêche deux agents qui offrent leur collaboration pour monter une opération visant à assassiner Von Bock. Débarqués dans l’arrière-pays en hydravion Grigorievitch, les deux agents découvrent en fait que les services secrets allemands luttent contre une secte Cthuloïde qui, réalisant d’horribles sacrifices humains à l’occasion des massacres d’Arméniens perpétrés par les turcs, tente de réveiller un Grand Ancien ! Un seul agent parvient à rentrer sur les navires russes qui l’attendent au large. Revenu à Sébastopol, il fait arrêter le « prodige » et part en hydravion sur la mer Noire pour lancer une contre-invocation, qui fut couronnée de succès malgré la vision d’horreur sortie des flots qui ébranla le pilote russe de l’hydravion.

C’était comme un rève...

La Brigade découvre en même temps que les services allemands un temple de la civilisation de l’Atlantide suspendu dans un nuage à une distance peu éloignée du front français. Ce temple qui était rempli d’objets atlantes a ensuite disparu sans qu’aucune des parties n’en tire avantage.

RAPPORT D’ENQUETE DE L’INSPECTEUR LETALON DATE DU 19 AOUT 1916 Le 17 août 1916, lors d’un déplacement dans Paris avec l’inspecteur Lebrun sur un véhicule de service nous avons observé avec stupéfaction dans la vitrine d’un antiquaire un petit objet en forme de pyramide strictement semblable à celui ramené de Venise lors d’une précédente enquête de la Brigade Mobile Spéciale. J’ai aussitôt acheté l’objet à l’antiquaire, Monsieur Pochon, et lui ai demandé où il l’avait trouvé. Il m’a répondu que l’objet lui a été vendu ainsi qu’une petite statuette faite du même métal par un soldat en permission du nom de Dumontel, il y a quelques jours de cela. Il se souvenait également du numéro porté sur l’uniforme du soldat : le 133. J’ai alors acheté la statuette et nous sommes rentrés aux locaux de la Brigade pour examiner ces trouvailles. La statuette représente un guerrier grec avec une (…)
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Le disque de Guinée

La Brigade collaborant avec l’Intelligence Service Britannique désamorce une bombe d’une très grande puissance (de la technologie de la Grande Race de Yith) que Von Bock avait placée sur Londres par une incroyable opération de manipulation au Cameroun allemand en 1914. Fort heureusement, les agents de la BMS parvinrent à l’empêcher in extrémis de l’amorcer.

Voici les documents d’archives de cette aventure épique.

TRADUCTION D’UNE LETTRE TROUVEE PRES D’UN POSTE T.S.F. ALLEMAND LORS DE LA PRISE DU VILLAGE COTIER DE COCO BEACH (GABON) EN SEPTEMBRE 1914. A l’Oberleutnant Vogel Mes services comptent sur vous pour déterminer un tracé à travers la jungle de manière à évacuer le site d’Oyem à travers la Guinée espagnole. Je fais mon affaire des autorisations auprès des autorités locales, vous serez autorisés à pénétrer sur leur territoire et à conduire toutes les explorations nécessaires. Inutile de vous rappeler l’importance de cette mission pour la science allemande, l’état-major compte sur vous. Col. Von Bock NOTE DE SERVICE DATEE DU 22 NOVEMBRE 1914 DE : COMMISSAIRE PRINCIPAL FEVRE A : INSPECTEUR LASPALES, AGENT BRIGADE MOBILE SPECIALE n°1 Laspalès, On a trouvé ce télégramme de Von Bock dans un village côtier d’Afrique tenu par les boches, sur la bande de terre d’A.E.F. que nous (…)
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Le destin du L 36

La BMS intervient à Venise après la découverte dans l’Adriatique d’un hydravion autrichien à la dérive, dont le pilote mort dans une expression de terreur tient dans sa main un étrange objet. L’agent de la BMS envoyé enquêter sur place découvre que des allemands échangent des prisonniers humains contre des objets atlantes à des Profonds sur une île de la côte Dalmate. Ces derniers devaient les pêcher sous l’eau...

Voici les documents d’archives concernant ce dossier

RAPPORT SECRET DU 3 mai 1916 DU : Lieutenant de Vaisseau Reynaud, officier commandant l’escadrille d’hydravions de Venise A : L’amiral Lacaze commandant le service de l’aviation maritime, Paris Amiral, Je vous rend compte des faits suivants qui se sont déroulés dans l’après-midi du 2 mai 1916. Un patrouilleur rapide de la marine française a remorqué à notre base un hydravion autrichien de type Lohner, immatriculé L-36, qui a été trouvé dérivant dans l’adriatique. L’appareil est intact quant à sa structure, son moteur à par contre dû serrer en vol faute d’huile (le réservoir d’huile est vide). A son bord le corps du pilote, cause du décès attaque cardiaque selon les médecins militaires : l’expression de terreur figée sur son visage est particulièrement saisissante. Aucune trace du navigateur-mitrailleur. Dans l’appareil a été découvert une carte de la côte dalmate sur (…)
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A la recherche du cristal (3eme partie - Mésopotamie)

La statue ramenée de Dalmatie permet à la BMS de repartir sur la piste du cristal du premier soleil. Avec l’aide des services britanniques, ils partent en Mésopotamie mener leur enquête sur le site des fouilles d’Ur, récemment conquis par l’armée britannique. Ils y découvrent que le royaume d’Akkad combattait de puissants sorciers serpents armés d’un cristal magique capable de tuer des armées entières, nommé "cristal du premier soleil". Ils doivent lutter contre des pillards pour récupérer certaines tablettes volées, qui leur apprennent l’emplacement où des guerriers d’Akkad ont vaincu les hommes-serpents par une glorieuse expédition sans retour : ils ont disparu dans leur temple maudit, qu’ils situent dans les catacombes de la cité d’Erukush (aujourd’hui Divanieh). Ils s’empressent d’y réaliser des fouilles mais en novembre 1915 une contre offensive de l’armée turque encadrée d’officiers allemands les forcent à évacuer. Ils surveillent d’avion le site et constatent que les hommes de Von Bock poursuivent les fouilles ! La venue d’un avion gros porteur de type Gotha leur laisse à penser que les Allemands ont découvert quelque chose d’intéressant. Ils décident de détruire ce gros bombardier au sol, mais le découvrent en vol se dirigeant vers l’Allemagne ! Après un furieux combat aérien, le Gotha est abattu et s’écrase dans le désert où le sable a tôt fait de recouvrir ses restes calcinés, enterrant également le cristal du premier soleil ou du moins ce que Von Bock ramena de ses fouilles...

Octobre 1915 : La statue ramenée de Dalmatie fait alors l’objet d’un examen minutieux par la BMS. Il faut comprendre qu’elle est issue de la civilisation mésopotamienne, qui est considérée comme la plus vieille civilisation humaine connue à ce jour, plus ancienne que l’Egypte. Ils la font examiner à Londres par le spécialiste mondial de la civilisation mésopotamienne, le professeur Foster Daniels. Celui-ci se montre fort impressionné par la statue, qu’il identifie comme étant une statue royale de la période Akkadienne décadente débutant en -2160, quand les usurpateurs de Sargon ont pris le pouvoir. Le royaume d’Akkad est alors devenu une vague confédération de cités plus ou moins rivales, et pour maintenir ses vestiges d’autorité le Roi faisait faire de lui une statue en or dans chaque ville pour rappeler son existence. C’est précisément une de ces statues que la BMS a sous la main, (…)
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A la recherche du cristal (2eme partie - Venise)

Effectuant des recherches sur les mystérieux soldats en armures trouvés dans le tombeau de la reine-serpent neuf mois plus tôt, les agents de la BMS finissent par découvrir à l’aide du blason figurant sur leur bouclier qu’il s’agit de la famille Muratello, de la noblesse vénitienne. Ils partent alors à Venise et découvrent que cette famille avait en son sien un aventurier-né, Luigi Muratello, parti à la recherche du trésor d’Alexandre le Grand en 1574 ! Quand il est revenu à Venise un an plus tard, les cales de son navire étaient bien pleines mais il succombe peu après pendant la grande peste comme toute sa famille. Ses biens ont été récupérés par la famille Giovanni. Ils enquêtent alors dans les archives de cette famille qui cache un lourd secret... elle est dirigée par des Vampires ! Les agents de la BMS s’en sortent alors d’extrême justesse, sauvés par une chasseuse de vampires nommée Simone Pouffiot. Ils ont pu découvrir que la famille Giovanni a entreposé la cargaison du navire de Luigi dans un monastère d’une île de l’Adriatique : il y avait d’étranges tablettes triangulaires, ainsi qu’une statue sumérienne. Les agents de la BMS organisent alors un raid en hydravion vers cette île isolée, maintenant placée sous souveraineté autrichienne. Ils découvrent dans les réserves du monastère la statue sumérienne, qu’ils emmènent avec eux à Venise. Mais ils apprennent aussi des moines que les tablettes triangulaires ont été saisies en 1913 et envoyées au musée de Vienne...

Septembre 1915 : Neuf mois se sont écoulés depuis l’expédition en Arabie. Durant cette période où les agents de la BMS ont été durement sollicités par leurs obligations militaires, des recherches patientes et minutieuses ont été entreprises sur le blason du bouclier tel que dessiné par les agents Laspalès et Antyphon. Après de nombreux mois de travail l’élimination de plusieurs fausses pistes, le blason est identifié comme étant celui de la famille Muratello, une famille de la noblesse vénitienne éteinte au 16e siècle. Les documents en France étant des plus rares, une équipe d’agents composée des inspecteurs Laspalès (BMS n°1), Anthyphon (BMS n°2), Dumort (BMS n°12) et Maure (BMS n°72) est envoyée enquêter à Venise. La ville est en guerre et subit épisodiquement des bombardements d’hydravions autrichiens. L’inspecteur Antyphon a la surprise d’y rencontrer le capitaine Moizo, (…)
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A la recherche du cristal (1ere partie - Sinaï)

La BMS prend de vitesse les services de Von Bock qui souhaitent réaliser des fouilles dans un tombeau égyptien au Sinaï, afin d’y trouver des informations sur une cité mythique perdue dans le désert d’Arabie. Cette cité contiendrait un artéfact du mythe de Cthulhu d’une très grande puissance, le "cristal du premier soleil". La BMS fouille le tombeau avant les agents prussiens, mais doit évacuer en catastrophe avant l’arrivée de l’armée turque. Toutefois, sont collectées des informations permettant de localiser la cité. Les agents s’infiltrent alors sur la côte d’Arabie, mais se font capturer près de la cité par des troupes allemandes. Beau joueur, leur chef nommé Schliemann les fait entrer dans le tombeau de la reine qu’il vient d’excaver mais là ils découvrent des squelettes de soldats européens du moyen âge : le tombeau a déjà été pillé. Mais ce qui a tué ces hommes était toujours là, la reine serpent elle-même et ses serviteurs ! Après un horrible massacre, les agents de la BMS profitant de la confusion parvinrent à fuir dans le désert et à regagner l’Egypte.

Décembre 1914 : un message télégraphique intercepté par l’espionnage français au Liban alerte la BMS que Von Bock compte s’emparer d’un site de fouilles "la tombe d"Horemteb" dans le Sinaï. Une équipe est aussitôt envoyée sur place pour le devancer, composée des inspecteurs Laspalès (BMS n°1), Anthyphon (BMS N°2), Letalon (BMS N°76) et de la Martinière (BMS n°77). L’inspecteur Anthyphon conduit personnellement une reconnaissance aérienne sur le site en empruntant un hydravion Nieuport à l’escadrille navale de Suez. Il découvre un site de fouilles, sur lequel s’activent des ouvriers arabes... S’infiltrant derrière les lignes turques dans le Sinaï, les agents retrouvent le site en activité et ont la surprise d’y découvrir Isabella Gomez-Pedroza, une jeune archéologue ayant collaboré avec la BMS en Grèce deux ans plus tôt. Celle-ci donne des explications un peu embarrassées : elle a (…)
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Le temps des carabines

La guerre est commencée depuis plusieurs semaines et les troupes allemandes déferlent sur le nord de la France, menaçant Paris. Dans la zone occupée par l’ennemi, la BMS est informée que les services secrets allemands ont enlevé de terre un petit menhir d’une forêt de Champagne. En enquêtant, la BMS découvrit que cette pierre avait été érigée par une tribu de gaulois pour y emprisonner un Lloigor. Après une périlleuse mission derrière les lignes ennemies, les agents purent découvrir que les services de Von Bock comptaient la larguer par avion sur un important centre de ravitaillement de la capitale, après en avoir enlevé les signes de protection magique qui y emprisonnent la créature. En se portant en avion à la rencontre des appareils allemands, les agents de la BMS parvirent après un furieux combat à la carabine à descendre celui portant la pierre et de remporter ce qui fut peut-être la première victoire aérienne du conflit.

Porté disparu

Le commissaire principal Laspalès envoie ses hommes enquêter sur la disparition d’un archéologue revenu en France après une mission mouvementée en Afrique Equatoriale Française. Leur enquête mènera les agents dans sa maison de campagne, située dans les Landes, et qui semble particulièrement souffrir de l’humidité...

Une psychanalyse de groupe

L’agent Achenar Dumort et sa fiancée l’agent Rose Firshyde effectuent un séjour privé à Vienne. Monsieur Dumort pense a juste titre qu’il n’y a pas plus indiqué que le célèbre professeur Sigmund Freud pour soigner sa santé mentale mise à mal par la vision d’horreurs du mythe de Cthulhu. Or le célèbre psychanalyste lui propose une séance de groupe avec un jeune officier autrichien en poste à la cour de l’empereur, et qui souffre des mêmes troubles que lui. Le couple d’agents de la BMS va vite comprendre qu’il s’y passe des choses surnaturelles, et en enquêtant à titre privé, va déjouer un complot orchestré par un noble hongrois utilisant le mythe de Cthulhu...

Le diable des Vosges

La Brigade ne peut empêcher la capture par les services de Von Bock de documents relatant les découvertes d’un savant fou français et de ses expériences sur le gigantisme des insectes.

L’affaire Coanda

La Brigade échoua à contrer le complot de la Main Rouge qui enleva les plans d’une arme révolutionnaire inventée par l’ingénieur Henri Coanda, qui en oublia même m’avoir inventé.

La main du désert

Une photographie parvient sur le bureau du commissaire principal Conti. Elle a été prise au Sahara algérien et représente une colossale main de pierre, sortant du sable comme un noyé porterait sa main hors de l’eau. La BMS est envoyée sur place dans une petit fort où se trouvent des troupes coloniales et dont un des officiers a pris la photo. Il se trouve que les indigènes de la région, en lutte contre la colonisation française, sont en pleine effervescence... La BMS parvint à empêcher le réveil d’une immense créature enfouie sous les sables que préparait un sorcier indigène.

Le livre de Michel

Une jeune archéologue espagnole, Isabella Gomez-Pedroza, contacte le commissaire principal Conti. Elle réalise à Istanbul des recherches sur de vieux ouvrages byzantins et se sent menacée par les services secrets d’une puissance étrangère, que Conti a tôt fait d’identifier comme ceux des services secrets de Von Bock. Elle effectue des recherches sur la mythique bibliothèque de Naxos, selon la légende disparue en 904. Cette bibliothèque rassemblait tout le savoir de l’époque en occultisme, et n’en doutons pas, du mythe de Cthulhu... Après une attaque de pirates sur l’île de Naxos en 904, le patriarche local nommé Michel se chargea de mettre les précieux volumes à l’abri - et la Signorina Gomez-Pedroza vient de retrouver sa trace sur une mosaïque d’une église de Constantinople ! Les agents de la BMS se chargent d’assurer sa protection face aux hommes de main de Von Bock, et suivent un fabuleux jeux de piste en remontant la trace de Michel de Naxos, ce qui les mène dans les monastères du Mont Athos où ils apprennent que ce prêtre y vivait reclus, terrorisé par la mer d’où il pressentait une grande menace... Son obsession était l’histoire un puissant artéfact, le cristal du premier soleil, une pierre amenée d’une autre planète par les Anciens dont ils se seraient servis pour créer les premières formes de vies terrestres, les Shoggoths. L’objet fut perdu au fil des âges, avant de se retrouver entre les mains d’une civilisation d’hommes reptiles qui le perdirent à leur tour au cours d’une guerre contre les hommes. Michel de Naxos a consigné dans son livre toutes les légendes relatives à ce artéfact, y compris certaines venant de la bibliothèque d’Alexandrie ! Se sentant menacé, il cherchait à mettre son ouvrage à l’abri, dans le tombeau d’un « ami », qui vivait plusieurs siècles avant lui ! Les agents de la BMS retrouvent trace de cet « ami », un Romain de l’antiquité, enterré en Albanie. Se rendant dans les montagnes de ce pays sauvage, et bravant les attaques de bandits, les agents trouvent un vieux temple qui est en fait un portail dans le monde du rêve... Michel de Naxos avait vraiment bien caché son plus précieux ouvrage. Après diverses péripéties dans une forêt fantastique, la BMS se retrouve ainsi en possession d’un ouvrage majeur du mythe dont Isabella Gomez-Pedroza les aida à déchiffrer les passages les plus obscurs.

Le projet n°3

Dans le Pacifique, un petit aviso colonial est pris dans une tempête magnétique et se retrouve tordu comme une banane. La BMS se rend sur place et mène une enquête qui la conduit à détruire une base secrète allemande aux îles Samoa dans lequel les services de Von Bock tentaient des expériences sur des créatures connues sous le nom de Lloigors.

La tablette de Tezcatlipoca

Une tablette aztèque est volée au musée de l’homme par un étranger. La BMS part à sa poursuite jusque dans les jungles du Mexique, où l’homme compte réaliser une invocation dans une vieille pyramide...

La conspiration des poissonniers

A Marseille, La BMS combat une secte Cthulhoïde composée de poissonniers, qui projetait de ranimer une monstrueuse créature sous-marine...

Les demoiselles du Vésinet

(Scénario fortement inspiré de l’épisode du même nom des brigades du tigres !)

Roselyne et Edmonde Berthet, deux vieilles un peu gâteuses, on enlevé avec la complicité de leur fidèle jardinier plusieurs députés qu’elles tiennent en otages dans leur cave. Elles exigent que l’assemblée nationale accorde le droit de vote aux femmes, sinon elles feront tout sauter ! La BMS fut chargé de cette délicate affaire, d’autant plus que les deux vieilles étaient dotées de certains pouvoirs...

Le dieu dans l’urne

La BMS intervient sur un site de fouilles archéologiques organisé par Von Bock dans le désert de Libye, en pleine guerre italo-turque. Utilisant les premiers aéroplanes militaires de l’histoire, le site est localisé puis pris d’assaut par une colonne de méharistes venus d’Afrique du Nord. La BMS y captura une sorte de jarre de 2 mètres de haut, d’une civilisation inconnue... Non sans mal, la jarre fut ramenée en France où elle y fut ouverte. Ce n’était pas en définitive une jarre, mais une urne funéraire, et son occupant était toujours vivant...

La poigne de la Main Rouge

La Main Rouge tentait de pousser à la folie un industriel d’armement français pour le contraindre à céder son empire industriel. Pour cela, elle lui fit parvenir une pierre attirant sur son possesseur l’ire des Chthoniens. Présenté comme un banal cadeau d’une curiosité minéralogique, il s’agissait en fait d’un œuf de Chtonien, et le malheureux industriel, soumis à leurs attaques psychiques, ne pouvait plus quitter son bureau ! Le complot fut déjoué par la Brigade qui rendit l’œuf à ces créatures (après en avoir rencontré une qui surgit de sous terre en défonçant la chaussée...) mais durant cette enquête des indices conduirent à penser que la Main Rouge organisait une conspiration destinée à provoquer une guerre mondiale et obtenir de considérables profits via les industries d’armement dont elle cherchait à prendre le contrôle. Les responsables de la Main Rouge ne furent pas identifiés par les agents de la BMS et courent toujours...

La boutique d’Ali

Un archéologue français revenu de Tunisie a fait une curieuse découverte qui est aussitôt saisie par le deuxième bureau de l’armée française : un petit objet cuivré, acheté à un marchand de Tunis, qui se révèle être un planétarium projetant des images holographiques du système solaire ! Une enquête commune de la BMS et du 2eme bureau montra que le marchand de cet objet, un certain « Ali », est en fait un survivant atlante vendant d’étranges objets en échange de produits frais qu’il stocke dans des jarres. La BMS et les services du 2eme bureau interpellèrent cet « Ali » mais la brutalité des méthodes du 2eme bureau et la passivité des agents de la BMS ne permirent pas de découvrir quoi que ce soit : « Ali » disparut de sa prison, sans laisser de traces...

Le démon de la peste

La BMS combat une secte parisienne tentant de diffuser le virus de la peste dans la population. On raconte que de hauts responsables de la police en faisaient partie...

La vente aux enchères

Les services secrets prussiens de Von Bock sont aperçus dans une vente aux enchères à Vienne dans laquelle ils tentaient d’acquérir des grimoires occultes. La BMS se met sur le coup...

La zone interdite

Les agents de la Brigade s’infiltrent dans une zone déclarée interdite par l’armée allemande dans la Forêt Noire en Bavière. Les services de Von Bock avaient découvert des cavernes dans lesquelles une secte païenne disparue se livrait à un culte, un portail magique permettait d’accéder dans une cité de créatures très anciennes, un bas-relief de cette cité intéresse particulièrement les Allemands. Il est à noter que le Colonel Von Bock fur personnellement blessé par un agent de la Brigade dans cette opération.

Ursule Simoni, re-animateur

(Il s’agit de l’adaptation du scénario "A little knowledge", publié dans le supplément "Arkham unveiled").

Deux agressions sont commises sur le campus de la faculté de médecine par un étudiant, qui se suicide peut après en se défenestrant. L’autopsie montre qu’il était déjà mort au moment des faits, un étrange liquide coulant dans ses veines... La BMS boucla cette enquête en découvrant un laboratoire d’expériences horribles conduites par un génie fou, du nom d’Ursule Simoni.

Le maître du monde

De curieux meurtres ont eu lieu dans la capitale. Des savants sont enlevés... La BMS se charge de l’enquête car on découvre que tout semble venir de la voie des airs ! Les agents découvrent qu’il s’agit d’un savant ayant construit une machine volante, et cherchant à se venger du meurtre de sa famille durant la commune de Paris en 1871. Usant de diplomatie, la BMS parvient à négocier la libération des deux savants enlevés. On ne vit plus jamais l’étrange machine ni son inventeur...

Le sanatorium

(Il s’agit de l’adaptation du scénario du même nom publié dans le supplément "Les demeures de l’épouvante".)

La BMS enquête dans l’empire Austro-hongrois sur un sanatorium situé sur une île de l’Adriatique, en Dalmatie, où est signalé un patient ayant eu visiblement maille à partir avec le mythe de Cthulhu. Cette information s’avéra exacte, et le « patient » en question invoqua de sa cellule une créature pendant que les agents se trouvaient sur l’île...

Les griffes des ténèbres

La BMS combat un groupe de gangsters traqués par la police et ayant invoqué une créature du mythe de Cthulhu pour se défendre. Mais ne s’improvise pas sorcier qui veut...

La nuit des tableaux

Les bijoux de la couronne de Roumanie, exposés à Paris chez un bijoutier de la place Vendôme, disparaissent mystérieusement. La BMS en vient à suspecter la décoratrice de la salle, une franco-américaine du nom de « Madame Antoinette », repartie un peu vite aux Etats-Unis en compagnie d’un nain avec des tableaux de peinture qu’elle avait disposés dans la salle... Ces tableau représentaient des princes roumains, la BMS a découvert que l’un d’entre eux avait sur la tête la couronne de Roumanie après le vol alors qu’il ne l’avait pas avant ! Débarqués à la Nouvelle-Orléans, les agents de la BMS sont agressés par des inconnus mais délivrés par l’intervention de deux vieux agents sexagénaires du secret service, un certain James West et Artémus Gordon. Ils leur révèlent être eux aussi sur la piste de cette Madame Antoinette, ainsi que de son maître, le diabolique docteur Miguelito Loveless ! L’équipe commune BMS / Secret Service parvint à découvrir le repaire secret des criminels dans les montagnes rocheuses et à récupérer la couronne.

La vallée des quatre sanctuaires

(Il s’agit de l’adaptation du scénario du même nom paru dans le supplément "fragments d’épouvantes")

La BMS mène une mission d’exploration au Congo Belge suite à des notes retrouvées dans un ouvrage occulte, émanant d’un explorateur allemand qui pourrait être un collaborateur du colonel Von Bock. Elle découvrit une vallée contenant des créatures du mythe de Cthulhu.

Le pensionnat de Saint-Guillaume

(Il s’agit de l’adaptation du scénario du même nom publiée dans la revue "Cassus Belli".)

La BMS enquête sur des évènements surnaturels survenus dans un pensionnat catholique, et qui semblent émaner d’un jeune pensionnaire...

Le monastère des Alpes

Plusieurs meurtres ou tentatives de meurtre ont lieu dans la capitale et impliquent tous des militaires ou anciens militaires d’un bataillon de chasseurs alpins basé à Barcelonnette. La BMS découvre durant son enquête que ce bataillon avait participé, sous les ordres du gouvernement Combes, à l’inventaire « forcé » des biens d’un monastère perdu dans les Alpes. L’ennui est que ce monastère n’abritait plus depuis longtemps de moines, mais des créatures extra-terrestres nommées Fungi de Yuggoth qui anéantirent une équipe complète de la BMS, avant qu’une deuxième équipe revenue en force ne trouve les lieux entièrement vides...

Les caves de Monsieur Bevillard

Par une erreur postale, Monsieur Bévillart (avec un « t ») a reçu une étrange bouteille de vin, dans laquelle est enfermée une « chose » qu’il donne aux autorités... La BMS hérite du dossier et retrouve le vrai Monsieur Bévillard, mettant fin aux étranges expériences auxquelles il se livrait dans sa cave.

Le vampire de Vénétie

Les travaux de terrassement du métro ont mis à jour une chapelle souterraine scellée, dans laquelle était enfermé un vampire qui s’est éveillé et évanoui dans la nature après avoir tué des ouvriers du métro... La BMS part à sa chasse, mais a fort à faire avec une chasseuse de vampires professionnelle, une vieille grand’mère diabolique du nom de Simone Pouffiot, qui n’aime pas qu’on se mette sur son chemin.

Les vents de l’Atlas

En pleine période de tension coloniale avec l’Allemagne, la BMS enquête sur la disparition d’une des filles du Sultan du Maroc, ayant disparu sans explication de ses appartements du palais comme happée par une tornade... Toute l’équipe de la BMS fut portée disparue avec une colonne militaire qui s’enfonça dans les montagnes à la recherche des ravisseurs.

Le taureau de Knossos

Suite à un vol au Louvre conduit par des moyens surnaturels, la BMS en vient à soupçonner les services secrets prussiens du colonel Von Bock ayant besoin d’un objet pour conclure des fouilles en Crête, dirigées localement par un certain Schliemann, et tenter de récupérer une tête de taureau dotée de pouvoirs magiques. Les services Prussiens (et la BMS) se firent doubler par une secte cthuloïde qui utilisa l’artéfact du Louvre pour invoquer une créature ! La BMS parvint heureusement à la détruire ainsi qu’à abattre les sectateurs.

L’enigmatique carnet du capitaine Pop Plinn

(Il s’agit de l’adaptation du scénario officiel du jeu de rôles "Maléfices", dans lequel ont été rajoutés des éléments du mythe de Cthulhu)

La BMS étudie le carnet laissé par un aliéné alors décédé, ce qui conduira les agents à un étrange voyage en Bretagne.

Le dompteur de volcans

(Il s’agit de l’adaptation de l’excellent scénario du jeu de rôles "Maléfices")

La BMS combat une troupe de cirque servant de couverture à une étrange secte sataniste.

Une adresse à Berlin

Une opération commune BMS-2e bureau est montée dans la ville de Berlin, en proie à des troubles révolutionnaires. Il a été appris que les bureaux abritant les services secrets du colonel Von Bock ont été pillés par des militants spartakistes (communistes), qui en ont été délogés manu militari par un groupes de corps francs d’extrême droite ! De nombreux documents de grande valeur ont ainsi été éparpillés dans la capitale allemande. Les agents de la BMS parviennent à récupérer certains d’entre eux, ce qui leur permet de découvrir que le colonel Von Bock, sentant la menace révolutionnaire sur la capitale, a fait évacuer toutes ses archives et son entrepôt secret (se trouvant en Prusse trop près de la nouvelle frontière polonaise) pour les transférer vers le château de Beerberg, en Thuringe, où ils seront plus à l’abri dans de vastes caves creusées sous les jardins du château, gardés par quelques fidèles armés et payés par le trésor de guerre du service. La BMS et le 2e bureau réussissent à tout faire exploser par un spectaculaire raid aérien parti de Pologne et atterrissant à Strasbourg, neutralisant toutes les capacités opérationnelles du colonel Von Bock. Toutefois, le rapport des agents recommande de se méfier d’un certain major Goëssler, un lieutenant de Von Bock affronté à Berlin, et qui pourrait bien prendre l’ascendant sur ce dernier. Il n’a absolument aucun scrupule à utiliser les forces du mythe de Cthulhu pour parvenir à ses fins, quel qu’en soit le prix...

Nouvelles d’Allemagne La nouvelle république allemande de Weimar est dans une période d’incertitude, étant menacée par des insurgés communistes (les Spartakistes) et par des groupes armés d’extrême droite, les Freikorps. Ces derniers se constituent aux quatre coins du pays à partir de vétérans de l’armée impériale, dans le but de combattre les spartakistes ainsi les forces armées des nouvelles nations crées par le traité de Versailles et qui lorgnent vers les frontières allemandes (la Pologne en particulier). Ces Freikorps sont aussi une menace contre le gouvernement socialiste qui dirige l’Allemagne. C’est dans ce contexte que parvient à Paris un rapport de plusieurs officiers de la branche du 2e bureau de l’armée spécialisée dans le surnaturel. Ils rapportent avoir aidé des soldats Polonais se battant dans une région frontalière de Silésie à abattre une créature non identifiée (…)
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Le complôt de la main rouge

A l’aide d’une machine diabolique, une organisation criminelle nommée "la Main Rouge" prend possession de l’esprit du président de la république, Monsieur Emile Loubet, et menace de sa bouche de le tuer si une rançon considérable n’est pas versée !

10 août 1904. Le matin, alors que les journaux titrent sur une bataille navale entre les marines russes et japonaises en mer de Corée, les commissaires principaux Faivre et Conti sont convoqués d’urgence à la Présidence du Conseil par son occupant en titre, Monsieur Emile Combes lui-même. Il se passe quelque chose d’extraordinaire : quelqu’un tient la vie d’Emile Loubet, le Président de la République, en otage ! Faivre et Conti se rendent à la résidence du Président du conseil accompagnés de leurs meilleurs agents (les personnages-joueurs), ils trouvent dans son bureau un Monsieur Combes fort inquiet en discussion avec le professeur Bontemps, un aliéniste réputé. Les présentations d’usages accomplies, Combes leur indique que ce qui suit est strictement confidentiel et ne doit en aucun cas sortir de ces murs. Il en va de la sécurité nationale ! Puis il leur raconte le dernier conseil (…)
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Ce scénario a été présenté lors de la 30eme convention de jeux de rôles de Sup’Aéro (janvier 2009).

La menace de Madagascar

(Il s’agit de l’adaptation du scénario "The menace from Sumatra", publié dans le supplément "Dark Designs")

La BMS nouvellement crée enquête sur une mystérieuse maladie provoquée par un champignon bleu amené à Paris par un navire en provenance de Madagascar.

Le montreur d’ombres

(Il s’agit de l’adaptation de l’excellent scénario du jeu de rôles "Maléfices")

La BMS enquête sur un mystérieux monstre marin signalé dans les eaux du lac d’Annecy.

Les feux du 14 juillet

La BMS combat un groupe d’anarchistes qui comptent invoquer Cthugha au-dessus de la capitale !

La BMS enquête sur un tragique fait divers : le premier juillet 1902, un incendie s’est déclaré dans une salle de bal à Versailles lors d’une réception comprenant plusieurs généraux et personnalités de premier plan. On déplore quatre tués et plusieurs blessés... Il s’agit d’une salle de bal de la belle époque, avec un toit vitré. D’après certains témoignages de participants au bal, on aurait vu des feux follets entrer dans la salle de bal par une des ouvertures du toit vitré, puis se déplacer dans l’air et attaquer les invités ! Les organisateurs avaient reçu une lettre de menaces émanant d’un groupe anarchiste, et la sécurité avait pourtant été renforcée au maximum. Un soldat de garde dehors déclare avoir vu « un petit feu d’artifice » sortir de la tour d’un château voisin, et entrer dans la salle de bal par la verrière. Les agents de la BMS vont voir dans ce château, qui est (…)
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