5 septembre 1936

20 septembre 1936
29 septembre 1936
29 septembre 1936 (bis)
15 février 1937
28 février 1937
17 avril 1937
24 avril 1937
17 mai 1937

Au terme d’une longue enquête, la BMS est parvenue à localiser le tombeau d’un puissant vampire dans un monastère situé dans la Sierra de Guadarrama, au Nord-Ouest de Madrid. Les responsables de la BMS négocient alors la conduite d’un raid de bombardement auprès du gouvernement républicain espagnol, en échange de la cession d’un hydravion Dornier Wal capturé par des agents quelques années plus tôt. Le gouvernement accepte cet arrangement et le raid est conduit par des appareils de l’escadrille internationale d’André Malraux, pilotés par des agents de la BMS.

Part ainsi sur l’objectif un bombardier Bloch 210, piloté par l’inspecteur Despré, le reste de l’équipage étant composé d’aviateurs de l’escadrille Malraux. 3 chasseurs escortent le bombardier : 2 Dewoitine 371 (l’un étant piloté par l’inspecteur Laurent Bonfils, l’autre par un pilote de Malraux) et un Boeing P-26 piloté par l’inspecteur Pierremont.

Alors que la petite formation arrive sur l’objectif, ils aperçoivent 4 chasseurs Fiat CR 32 à haute altitude qui leur piquent dessus. Despré met plein gaz et parvient à lâcher ses bombes sur l’objectif avant d’être rattrapé par les CR 32, ses bombes font apparemment mouche si l’on en juge la colonne de fumée et les débris projetés par l’explosion. Le Boeing et les deux Dewoitine subissent de plein fouet la passe de mitraillage des Fiat qui endommage celui piloté par l’aviateur de l’escadrille Malraux. Puis un combat tournoyant s’engage. L’inspecteur Bonfils, effectuant un virage très serré, parvient à aligner un Fiat dans son collimateur et à lui faire flamber le moteur, le pilote sautant en parachute. Mais le Dewoitine de Bonfils, en perte de vitesse, s’engage dans une vrille que son pilote ne parvient pas à maîtriser. Bonfils, voyant le sol s’approcher, préfère sauter en parachute... Pendant ce temps, le Bloch, suivi du Boeing, parvient à se réfugier dans un nuage et à quitter le combat. Il reste le dernier Dewoitine qui se fait sérieusement otucher par le chef d’escadrille des Fiat. Il cabre alors son appareil et le Fiat lui passe devant, ce qui lui permet de le toucher d’une longue rafale - sans le descendre cependant. Bien que très endommagé, le Dewoitine parvient à regagner un nuage et à revenir à sa base.

L’inspecteur Laurent Bonfils, tombé en zone nationaliste, sera sauvé par un avion envoyé par l’escadrille Malraux renseignée par des partisans républicains.

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